12 JANVIER LES REPAS UFOLOGIQUES TOULOUSAINS: RETROUVAILLES DE NOUVEL AN 2011


Lors du premier repas ufologique toulousain 2011, une trentaine d'habitués n'ont pas manqué de se retrouver amicalement à la cafétéria de Flunch pour échanger leurs Bons Vœux et renouveler leur fidélité pour cette nouvelle année. Une année qui s'annonce déjà riche en projets et sera vraisemblablement placée - bien au- delà des repas - sous le signe de la Préparation du futur Congrès d'Ufologie.

En effet, Isaure, notre " blonde dame " responsable de Toulouse, a confirmé le projet du premier Congrès Mondial Ufologique déjà évoqué par Christian COMTESSE lors de sa venue à Toulouse dans le cadre de l'assemblé générale des 25 Repas Ufologiques de France en Octobre dernier.
Congrès qui devrait se tenir à Paris en 2012. Aussi, les mois à venir devraient notamment être consacrés à cette manifestation d'envergure internationale.

L'incontournable Roch Sauquëre, Directeur du magazine "Top secret" - que nous avons la chance et le plaisir d'avoir dans la région de Toulouse - a d'ores et déjà annoncé qu'il serait partenaire du Congrès et apporterait son soutien.

Au cours de cette soirée de retrouvailles, pas d'intervenant ou d'invité notoire, mais des petits groupes de discussion se sont formés autour des incontournables grands thématiques de l'Ufologie. Chacun a pu exprimer et confronter un instant de sa recherche, faire un point sur l'avancée des hypothèses ou encore dresser une revue de l'actualité en cours et autant d'interrogations qui restent encore pour l'heure sans véritable réponse.

Des anomalies de Mars en passant par la possibilité de portes dans le temps ou encore l'éventualité des mondes parallèles …et les technologies extraterrestres de déplacement spatiaux…etc, cette première rencontre de Janvier préfigure en perspective, une année, biensur, riche en nouvelles du Ciel attendues, mais nécessitant aussi discernement sur Terre et ce, sans exclure la créativité, en n'en pas douter de la communauté des passionnés d'OVNIS.

A Toulouse, Isaure a lancé un petit appel à la générosité des ufologues de Midi - Pyrénées. Désormais à chaque repas, une gracieuse et libre participation financière à la discrétion de chacun serait bienvenue, notamment pour anticiper les frais de salle du futur congrès 2012, étant pour l'heure évalués à quelques 10 000 euros pour l'ensemble de la tirelire des repas Ufologiques.

Nous souhaitons à Tous les Ufologues 2011, la plus belle configuration d'une Année bien Terrestre mais " Extra ", sous un Ciel Serein et Prospère.





REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 9 FEVRIER 2011


En ce mois de la Chandeleur, une vingtaine de convives se sont de nouveau réunis autour du plateau du Repas Ufologique Toulousain, le mercredi 9 Février dernier. Quatre petits groupes s'étant attablés par affinités de discussion.

1 - Certains ont évoqué une approche résolument anthropologique et des plus intéressantes autour des hypothèses de recherche sur nos différentes perceptions des mondes extraterrestres. Ainsi les approches varient - elles entre imaginaire collectif, point de vue religieux et philosophique, considération culturelle et investigation scientifique, ou encore stratégie politique et économique. Finalement, on observe que chaque perception, quelle qu'elle soit, se place toujours en terme de croyances et d'intérêts propre à chacune.
Dans tous les cas de figure, le dénominateur de ces perceptions reste " humain " et seulement appréhendable avec nos 5 sens, voire sixième sens, en fonction du niveau de connaissance et de conscience actuelle. Cet univers qui nous fascine étant tout à la fois objet de curiosité et de quête de savoir, d'espoir et de crainte, mais aussi d'enjeu de recherche et de pouvoir.
De la même manière que les anthropologues et ethnologues étudient les Aborigènes ou les Dogons ou même nos sociétés modernes et leurs mouvements urbains, l'hypothèse Extraterrestre peut se poser également en sujet d'étude anthropologique. Encore faudrait-il être en mesure d'avoir accès, de réunir et de disposer véritablement d'un ensemble significatif d'informations existant sur la question.
Et ne perdons pas de vue que, nous " Terriens " pourrions être tout aussi bien une espèce d'étude et d'observation pour une civilisation extraterrestre - si tant soit peu nous soyons aussi dignes d'intérêt que nous le pensons - à moins que cela soit notre planète, elle - même qui suscite la curiosité, ou peut être la convoitise, davantage que les créatures qui y vivent.

2 - Une seconde tablée était branchée sur la même longueur d'onde autour de Dominique MOREL, ce spécialiste et chercheur inépuisable sur son thème de prédilection des étonnantes ondes scalaires et la corde sensible du Projet HARP, ou encore les Crops Circles, que lui - même allée voir de près Outre Manche, quand il ne se promène pas dans la forêt de Brocéliande..

3 - D'autres ont donné la météo de présumées manipulations climatiques et autres chems trails et leurs conséquences sur l'environnement et la santé. Au passage, l'un d'entre nous fit un zoom sur l'actualité du moment et notamment la crise " peut être programmée ? " qui secoue à cette heure l'Egypte et la Tunisie.

4 - Loin de toute conspiration, le nom de David Ike fut également prononcé. Ce leveur de " Grand Secret " qui, dans ses ouvrages, n'a de cesse de traquer les inquiétants reptiliens extraterrestres et autres serpents gouvernementaux " qui siffleraient sur nos têtes ".
Du Grand Secret à Top Secret, il n'y avait qu'un pas, puisque Monsieur Saüquère accompagné d'un exemplaire de son dernier magazine était plus Roch que jamais.

Quant à notre gentille organisatrice, Isaure, on murmure que pour cette année elle détiendrait, paraît-il, le secret d'une petite algues bleue, au terme d'une agréable mutation pas du tout génétique. Mais ça .. c'est un secret !
Trois nouveaux venus sont venus faire un tour ufologique au Repas Toulousain, histoire de s'initier aux nouvelles du ciel. Nous leur souhaitons donc la bienvenue.
Comme à l'accoutumée, à la fermeture de la Cafétéria Flunch, qui nous accueille avec toujours autant d'hospitalité - et à laquelle, trève d'humour, nous devrions suggérer de prévoir un plateau " Spécial ET " …ou une bonne soupe au chou, ..au cas où ? Sait -on jamais, si d'aventure nous avions quelques visiteurs venus de l'espace ? - La soirée s'est donc poursuivie au bar du coin jusqu'à minuit, l'heure de passage de la dernière .. …soucoupe, où chacun est rentré chez soi, les oreilles en pointe ……ou presque.




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 9 MARS 2011: MICHAEL VAILLANT


A LA RECHERCHE DE L'ENIGME DE L'OVNI MATHEMATIQUE

 


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Le mercredi 9 Mars dernier, Michael VAILLANT, Expert indépendant en Traitement de l'Information intervenant notamment auprès du CNES à Toulouse, fut le nouvel invité du mois. Ce soir - là, devant un parterre d'une quarantaine ufologues, il exposa à titre tout à fait personnel sa recherche concentrée sur les vagues d'observation d'OVNIS s'étalant sur les 60 dernières années ou presque, soit de 1946 à 2000. Le compte - rendu de son travail fut abondamment étayé par un choix pertinent de données statistiques et de graphiques issus notamment de l'investigation de l'Américain Larry HATCH, un proche de Jacques VALLEY. Une démarche mathématique visant à mettre en évidence des facteurs de corrélations susceptibles d'approfondir le Phénomène OVNI, voire de démontrer qu'il pourrait ne pas être le fruit du hasard.

LA NOTION DE PREUVES
" Qu'est ce qui permet de dire que nous avons un phénomène extraterrestre et non pas originaire de la Terre ? Par cette question, Michael VAILLANT posa immédiatement la problématique des preuves au cœur de la recherche en Ufologie. " Pour l'heure, constate - il, nul n'arrive à répondre véritablement ". Prudemment, il a précisé que les données photos et vidéos et les données numériques, ne sont pas des éléments de preuves définitives. L'ufologie se classant au rang des phénomènes étranges, il poursuit son raisonnement ainsi : " Si l'on veut prouver un phénomène étrange, il convient également de définir le degré d'étrangeté avec ce qui est connu. Et par ailleurs, il s'agit aussi de situer le seuil d'acceptabilité possible de la dite étrangeté, tout comme les différents comportements face à ces phénomènes, qui pour l'heure, échappent, il faut bien le dire, à notre compréhension.

LA FIABILITE DES INFORMATONS
S'appliquer à rapporter des preuves repose avant tout sur la fiabilité des Informations recueillies en amont, en vue d'être étudiées et analysées, insista Michael VAILLANT. Aussi, y a t-il nécessité d'avoir les moyens d'aller sur le terrain pour fiabiliser la source des informations, mais également de disposer de bons outils de communication pour informer correctement la population. " Jusqu'alors, ce qui manque , déplore t-il, c'est la communication, qui, selon lui, reste essentielle ".

INTERNET ET LA MANIPULATION DES SOURCES
Michael VAILLANT met en garde contre la somme des informations, quand ce n'est pas des désinformations, circulant sur Internet. La difficulté étant d'arriver à faire la part des choses. En effet, les informations diffusées sur Internet et plus précisément les photos et vidéos sur You Tube ou encore Daily Motion rassemblent des informations et des témoignages qui ne sont pas " sourcés " - autrement dit, dont on ignore la provenance - ou qui sont dégradés, car ces documents visuels ont pu être retouchés et donc dénaturées. De ce fait, il y a perte d'information, voire brouillage. Ce qui remet en cause les données en terme de fiabilité.
Ainsi, les données dites " exit " - autrement dit ayant été éliminées sciemment ou pas - contiennent à l'origine de précieuses métadonnées, dont : les paramètres de prise de vue, les coordonnées géographiques…etc. Hors ces données peuvent avoir été trafiquées ou même effacées avec des logiciels de traitement et de retouche d'images tel que Photoshop. Ces modifications et manipulations perturbent et affaiblissent considérablement le vrai travail de recherche. Finalement l'investigation scientifique court alors le risque de se trouver noyée dans les bizarreries qui décrédibilisent les vraies photos et documents authentiques dignes d'être exploités. Il convient de sensibiliser le public en général et les ufologues en particulier sur la prudence à adopter en matière d'identification et d'usage des diverses sources avant de les exploiter dans toute recherche digne de ce nom. Reste aussi à cibler les différents moyens et les méthodologies les plus appropriées et efficaces permettant de dégager des informations stratégiques et clés de l'ensemble des documents qu'ils soient audio - visuels, photographiques ou par témoignages verbaux ou écrits.

DES OBSERVATIONS EN LE TEMPS ET LE LIEU
Concernant les témoignages " si nombreux soient - ils, peu le sont avec des informations pratiques et utiles " a constaté Michael VAILLANT. En général, a t - il ajouté, " ils restent plutôt descriptifs mais sans preuve ". Toujours est - il que cela mène à une analyse pouvant être judicieuse, si ce n'est sur la méthodologie. Au cours de l'analyse, il s'agit de rechercher des signaux faibles, pas forcément évidents, mais du moins intéressants ; et de trouver une relation supérieure qui unisse les informations et qui permettrait de comprendre l'intelligence qui est en marche et son objectif.
Michael Vaillant a pris pour référence un ensemble de témoignages sur une dizaine d'années extrait du travail de Larry HATCH - lequel s'est appliqué à collecter des témoignages du monde entier et a constitué une base de données énorme qu'il a puisé dans des centaines d'ouvrages. Il a sélectionné les cas d'observations les plus connus, - comme Lumières dans la Nuit - pour ne citer qu'une des nombreuses sources. Aujourd'hui disparu, Larry HATCH a laissé derrière lui une base de données concernant 17774 témoignages courant de 1946 aux années 2000. Ce travail de fourmi - pourtant mal connu et commencé dans les années 80 - a le grand mérite d'avoir de poser quantité de critères d'informations très précis. " Pour moi cela reste la meilleure source d'information quant à la pertinence des critères " se conforte Michael VAILLANT. Sur ces bases, il précise s'être concentré essentiellement sur la preuve chronologique plutôt que l'approche géographique. Il nota au passage que " L'Afrique est mal desservie dans le domaine des témoignages et qu'il n'y a pas de raison qu'elle ne le soit pas plus que ça ". L'objectif étant de faire apparaît en temps et en lieu les éventuelles particularités de vagues d'observations d'OVNIS ou les dénominateurs communs à ces vagues : que cela soit aux USA, en Europe ou dans les autres pays susceptibles d'avoir recensés des observations, comme par exemple : en Afrique ou dans le Désert.

LES OUTILS D'ANALYSES GRAPHIQUES
A partir des graphiques et des tableaux d'analyse d'observation de vagues d'OVNIS, Michael VAILLANT a fait en direct plusieurs niveaux de lecture analytique des données montrant la complexité du phénomène et les multiples points d'orientation de la recherche. Il présenta, entre autre, un graphique concernant la structure des observations, afin de savoir comment se répartissait celles-ci. Ainsi figurent l'étude de la moyenne statistique des observations des vagues par mois et de la structure des vagues, ou encore la manière dont celles - ci se manifestent par exemple sur la durée d'une semaine au travers de 100 témoins. Ces graphiques permettent de mettre en exergue les vagues significatives qui concernent les USA, l'Europe, puis les deux à la fois et les autres parties du Monde.
" Il est possible d'appliquer différentes méthodes d'analyse sur les vagues d'observation, avertit Michael VAILLANT, faisant part de ses multiples investigations. L'idée étant de trouver une Loi Mathématique. A savoir : pourquoi ces vagues apparaîtraient d'une certaine façon ? ". Fort d'un langage de spécialiste, cet expert en traitement de l'Information est à même de " décomposer en sinusoïde complémentaire le signal et grâce à cela de recomposer ce même signal " ou encore d'étudier " les régressions linéaires concernant les vagues dans le temps ".

L'APPUI D'UNE LOI EXPONENTIELLE
Ainsi, Michael VAILLANT a réactualisé un graphique que Larry HATCH avait lui - même repris de Jacques VALLEY dans les années 80. A l'étude, se dégagent des couples d'observations avec des pics correspondant à des périodes qui s'écoulent de façon privilégiée. Dans une de ses études, il a constaté que des périodes de 115 semaines arrivent le plus souvent entre deux vagues d'observation. Ces durées qui ressortent sont des durées privilégiées qu'il a repris sous forme d'un tableau spécifique. Michael VAILLANT a déclaré avoir trouvé " quelque chose de très intéressant " - autrement dit " une Loi Exponentielle ". Une caractéristique très intéressante étant le paramètre de cette loi exponentielle qui définit une durée entre chaque temps d'observation et correspondrait à racine de 2. " Pourquoi est-ce racine de 2 ? Ce n'est pas pour rien ! " a t-il sous - entendu, et de poursuivre : " J'ai été très étonné de trouver cela, car c'est un coefficient de corrélation qui donne l'indication de la précision de la loi exponentielle ".
De même, en appliquant deux autres régressions exponentielles, il s'est aperçu qu'il y avait deux groupes de périodes privilégiées. Une première qui correspond à la première vague de 1945 aux USA et la seconde la vague qui a survolé l'Europe en 1954. " Ce qu'il y a d'extraordinaire, s'est étonné Michael VAILLANT, c'est que la probabilité est de 1 sur 10 millions et dans tous les cas, il émerge un ordre de temps s'écoulant entre chaque vague ".

Il conclut laissant l'énigme encore entière : " Un facteur de corrélation aussi fort ne peut pas être dû au hasard." Qu'en fait-on ? Nous sommes en présence d'un "OVNI Mathématique" !

A la suite de cette présentation et des résultats, les hypothèses et suggestions de tous les ufologues toulousains du jour ont été bon train. Si ce n'est pas dû au hasard, alors qui serait le Marionnettiste ? Apprentissage de l'Humanité au niveau social ou collectif ? Contrôle de l'esprit ? Manipulation humaine inconsciente ?

Juste une dernière remarque de notre intervenant de la soirée : Il a pu constaté d'une part que l'interprétation en matière d'OVNIS des séries actuelles n'est plus la même qu'il y a 20 ou 30 ans. Et d'autre part, si autrefois le phénomène était tourné en dérision, voici une bonne nouvelle, dorénavant ce n'est plus le cas, puisque l'on constate plus d'équilibre au niveau de la neutralité du traitement. De plus, lorsque le GEIPAN a ouvert son site Internet, il y a eu un afflux phénoménal, preuve de l'intérêt réel porté envers les phénomènes ufologiques.




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 12 AVRIL 2011


LE MYSTERE DES PYRAMIDES DE BOSNIE
ET
LE BAL DES CREATURES



 - Michel Deshâ. LE MYSTERE DES PYRAMIDES DE BOSNIE

Durant cette soirée du mercredi 12 Avril, deux intervenants, membres actifs des repas Ufologies de Toulouse, ont contribué à faire part de leurs investigations mutuelles. Michel Deshâ, nous a offert une analyse archéologique des mystérieuses Pyramides de BOSNIE, tandis que Ludovic BONIN est revenu sur le fameux témoignage ufologique de la Famille SUTTON, survenu aux USA en 1955.  - - Michel Deshâ. LE MYSTERE DES PYRAMIDES DE BOSNIE

LE PARC ARCHEOLOGIQUE DE VIZOKO
La première partie de la soirée fut donc consacrée à une véritable lecture archéologique d'un des sites qui n'a pas encore donné toutes les réponses quant à son origine. Apportant son regard d'expert et de chercheur, Michel a présenté un diaporama sur les étranges Pyramides de VIZOKO qu'il a lui - même commenté, suite à son voyage en Bosnie-Herzégovine. En effet, à l'automne dernier, il s'est rendu en Bosnie, invité par Semir OSMANAGIC, l'initiateur de la Fondation pour le Parc Archéologique des Pyramides de BOSNIE depuis 2005. Accompagné d'un collègue spécialisé dans les Balkans, Michel a pu découvrir le Parc Archéologique de VIZOKO situé à environ une vingtaine de 20 kilomètres au nord - ouest de ZARAJEVO. Il a rappelé que La Bosnie-Herzégovine fut une terre de passage à la jonction des civilisations grecques, romaines et celtes. Le site établi au cœur d'un réseau de vallées compte un parc de quatre Pyramides, voire même une cinquième - dont la Pyramide du Soleil, la Pyramide de la Lune, la Pyramide de la Terre et la Pyramide du Dragon - ainsi que de deux tunnels, Semir OSMANAGIC, écrivain origine Bosnienne et archéologue amateur spécialisé sur les pyramides d'Amérique Latine, a lui - même baptisé les pyramides en réplique aux Pyramides Mexicaines. Pyramides précolombiennes pour lesquelles il avait d'ailleurs formulé une hypothèse extraterrestre.

ORIGINE NATURELLE OU ARTIFICIELLE ?
Concernant le site de VIZOKO, les fouilles menées jusqu'à ce jour n'ont pour l'heure pas mis à jour la véritable source des Pyramides, les différentes hypothèses des communautés de travail se partageant et s'opposent entre phénomènes géologiques et interventions humaines.
Les pyramides épousent curieusement un groupe de collines surplombant la ville de VIZOKO Sur le terrain, Michel Deshâ a posé plusieurs questions : " Est ce que ces structures sont artificielles ou naturelles ? ". En réponse : " Les analyses et études conduisent à penser que les structures découvertes seraient artificielles et non pas naturelles. La datation serait encore à estimer ". " Est ce que le sol passe au-dessous de la montagne ? La réponse est de nouveau : Oui. Au regard des clichés qu'il a rapporté, Michel s'interroge sur le fait qu'il n'y a pas de traces d'ornières et d'usures sur le sol en dalles. Pour être tout à fait précis, il n'y a aucune trace nulle part d'une usure ou bien d'un aménagement quelconque sur les différents sols.

LA PYRAMIDE DU SOLEIL
En 2008, les recherches sur la Pyramide du Soleil ont mis en évidence trois pans, le 4ème correspondrait à ce qui semblerait à un chemin processionnel. Pendant la guerre en Bosnie, la Pyramide a été bombardée et la population aurait dit qu'elle sonnait creux.A la différence de la pyramide égyptienne de Kheops, les couches et les revêtements sont différents pris dans l'argile. Plusieurs types de constructions. Ces dimensions sont suppérieur à celle de Keops. (137 m pour Kéops et 213 m pour Visoko). En ce qui concerne l'orientation : 3 minutes d'angle pour Kéops par rapport aux points cardinaux alors que la pyramide du Soleil pointe N35°W pour l'angle Nord-Ouest, et N45°E pour l'angle Nord-Est. Au sommet de la Pyramide subsiste un château médiéval dont l'occupation principale date du XIVe siècle. Dans un but de préservation, il est désormais officiellement interdit de fouille, néanmoins des fouilles sauvages se poursuivent.

PASSAGE DE TUNNELS
Michel Deshâ a présenté des vues d'un des tunnels qui enrichissent le Parc et dont l'entrée est connue de longue date et s'enfonce à 150 mètres. Il a précisé que " Les tunnels seraient des vestiges de mines d'où auraient été extrait les galets et matériaux pour le revêtement des pyramides ". A l'intérieur ont été découvertes des dalles de pierres. Selon l'interprétation de Semir OSMANAGIC, elles seraient des vestiges de la première civilisation céramique et auraient été fabriquées " il y a fort longtemps " avec la présence de Runes. Sur leur face figureraient des dessins de cartes. La pierre la plus épaisse présentant une carte avec une rivière et des reliefs. " La difficulté, a précisé, Michel est de savoir comment distinguer l'environnement naturel de ce qui a été construit de mains d'hommes ? ". Pour illustrer son propos, il visionna une vue des impressionnantes formations géologiques d'Irlande pourtant bel et bien naturelles et montrant la difficulté à parfois distinguer l'environnement naturel de ce qui a été construit de main d'hommes. Au coté des pyramides, un tumulus aurait également été mis à jour. Des analyses de stalagmites permettraient d'avancer une date compris entre 6000 à 10 000 ans. (Cette datation de stalactites a été faite dans le tunnel) Notre archéologue du jour a aussi fait référence à Joseph DAVIDOVITS, scientifique français d'origine hongroise de renom, membre de l'Association International d'Égyptologie et connu pour ses travaux sur les ciments et céramiques de l'Antiquité. Il a analysé les concrétions du site des pyramides de VIZOKO et d'après lui celles-ci seraient artificielles. La forme de pyramide se dégage très nettement dans le paysage. Trompe l'œil ou pas ? En tout cas, il parrait difficile de dire que tout est vrai ou que tout est faux. .

En attente que le Soleil de la Pyramide n'éclaire de nouvelles recherches, cette leçon d'archéologie d'un soir menée par Michel Deshâ montre que les civilisations anciennes gardent encore bien des secrets qu'il nous a fait partager.

 - Ludovic Bonin LE BAL DES CREATURES

Durant la deuxième partie de la soirée, dans un tout autre genre mais tout autant surprenant, Ludovic BONIN présenta l'un des fameux cas ufologiques, suite à son article paru dans le dernier numéro du magazine Top Secret. Il relata, non sans humour et avec force de détails, l'affaire de la Ferme des SUTTON, un des cas assez célèbres survenu aux USA en 1955 à Hopkinsville dans le Kentucky.

Pour résumer l'histoire : Ce soir du 21 août 1955, des fermiers de Hopkinsville, la famille SUTTON reçoivent des amis de Philadelphie. Quelques 11 personnes au total se trouvent ce soir -là réunies dans la ferme. Le Père SUTTON sort et va chercher de l'eau au puit. C'est alors qu'il voit un Ovni au - dessus de la ferme. Aussitôt, il court dans la maison et fait immédiatement part de cette incroyable rencontre. Nul ne le croit et tous se moquent de lui. La soirée se poursuit lorsque du bruit se fait entendre dehors. Le chien aboie. Le père SUTTON accompagné de son ami prend alors son fusil. Dehors, à environ 15 mètres d'eux se tient une créature aussi surprise qu'eux et dont la description ne manque pas de piquant. Elle lève les bras au ciel de longs bras verdâtres, elle a des oreilles en pointes et des griffes et porte un habit métallique. Le Père SUTTON braque une lampe torche sur elle et ouvre le feu, la créature s'enfuit. Les deux hommes rentrent terrorisés. Quelques minutes plus tard, une autre créature se manifeste et ainsi de suite apparaîtront plusieurs de ses créatures qui semblent assiéger la ferme et ses habitants tenus sous le choc.
Toute la nuit, il y aura le bal des créatures qui montent sur le toit, grattent, s'accrochent aux murs comme des araignées. Les habitants tirent et criblent la maison de chevrotines. Malgré les tirs, créatures s'envolent, il n'y a jamais de sang, mais cela fait " clong " comme sur du métal lorsqu'elles sont touchées. Les occupants de la ferme ne sauront évaluer leur nombre.
Vers trois heures du matin, il y aura une accalmie. La famille SUTTON se précipite en voiture chez le Shérif du secteur. Pas moins de 12 policiers viennent sur place et constatent que la maison est ravagée. Mais aucune créature n'est à l'horizon. Une demi - heure après le départ des policiers, la sarabande recommence de plus belle jusqu'au petit matin.
Le lendemain, la police ne trouve aucune trace d'Ovnis, l'USA Air Force pas d'avantage. Les Ufologues entrent également en jeu. Parmi les multiples hypothèses : - la famille SUTTON a vu des extraterrestres et a été terrorisée.
En 1957, soit ans deux plus tard, un Major de l'US Air Force, John E ALBERT a enquêté et conclu qu'il y avait un cirque dans le secteur et des singes costumés seraient échappés du cirque. D'autres avancent qu'un carnaval se déroulait dans la région ou encore émettent la possibilité de gaz hallucinogènes. La ferme deviendra même paraît -il un temps un lieu d'attraction payant. Au final, BLUE BOOK n'a pas réalisé d'enquête, mais a cependant enregistré le cas.

Ludovic souligna que de 1950 à 1960 sont survenus les rencontres du troisième type les plus intéressantes. A cette époque ces rencontres sont légions. " Ca vole de partout " pourrait-on presque dire. En comparaison, remarque - t-il, dorénavant, notre époque est plutôt calme et ne connaît guère une telle fréquence.

Une fois de plus, cette soirée a montré que l'investissement de chacun, selon ses compétences et sa disponibilité, contribue à faire partager des informations dont la diversité et l'angle d'approche enrichissent chaque mois les échanges des Repas Ufologiques.

PROCHAIN PROCHAIN REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 11 MAI 19H30
RESTAURANT LA TAVERNE DE MAITRE KANTER au 1er ETAGE
54 ALLEES JAURES JAURES
31000 TOULOUSE
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Cette soirée SPECIALE sera consacrée à la VAGUE d'OVNIS 1990
AU PROGRAMME
SERGE PERRONNET Responsable des Repas Ufologiques d'ALBI
Franck MARRIS
ET
Michel Ribardiere de la F E A





REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 11 MAI 2011


MICHEL RIBARDIERE, SERGE PERRONNET et FRANCK MARIE
LES TROIS SHERLOCK HOLMES DE L'UFOLOGIE


C'est une soirée Spéciale " Vague OVNIS du 5 Novembre 1990 " qui s'est déroulée à la Taverne Maître KANTER, lors du repas ufologique de Toulouse du 11 mai dernier.
Les Deux Maîtres du jour bien connus des milieux ufologiques pour leur travail à la pointe de l'information : nommons : Serge PERRONNET Responsable des Repas d'ALBI et Franck MARIE, Directeur de la Banque Internationale de Données Ufologiques et Spécialiste de la Vague d'Ovnis du 5 Novembre 1990 se sont partagés brillamment la scène ufologique de la soirée devant un parterre d'une soixantaine d'ufologues toulousains.
Pour la circonstance, Michel RIBADIERE, Président de l'Association FEA - en tournée en France dans le cadre de son prochain film documentaire - a posé sa caméra pour faire un " gros plan " sur ces deux intervenants et mettre en valeur le travail " astronomique " d'investigation qu'ils mènent sans compter depuis de nombreuses années, et tout particulièrement autour des manifestations OVNIS du 5 Novembre 1990.
Ces Scherlock HOLMES des UFO passent au peigne fin les témoignages sous leur regard aiguisé et cherchent à détecter tous les indices afin de tenter de dresser le portrait robot de " l'OVNI de tous les délits ".

MICHEL RIBADIERE EN REPORTAGE

Rappelons que Michel RIBARDIERE, - Président la FEA l'Association Européenne AIRPLANE - produit notamment des émissions audiovisuelles sur les PANS.
En préambule à la soirée, celui - ci a d'abord situé la nature des manifestations OVNIS du 5 Novembre 1990 dans leur contexte :
" A l'époque, des dizaines de milliers de personnes ont bien observé ce jour - là un phénomène OVNIS au - dessus de la France. Dans le journal de 20h sur TF1, le journaliste Patrick POIVRE D'ARVOR annonçait que selon l'Observatoire de Munich, il s'agissait " d'une simple météorite rentrée dans l'atmosphère ".. Et d'aucun ajoutait " Tans pis pour les petits hommes verts ……. toujours attendus sur Terre ".
Tandis qu'à Paris, l'Aviation décrétait une rentrée de satellite, confirmée par un Télex de la NASA, deux jours plus tard, était annoncée la désintégration d'un étage de fusée Russe.

Michel RIBADIERE se souvient qu'au cours d'une interview, l'Ufologue Jean Claude RIBES restait plutôt sceptique quant à l'identification d'une météorite ou d'un satellite, d'autant plus que l'observation et la description par l'ensemble des témoins de la trajectoire du phénomène dans son unité n'était pas compatible avec celle d'une météorite, qui peut difficilement se déplacer à l'horizontale. De l'Alsace au Sud de la France, des centaines et des centaines de témoins ont identifié une structure en forme de triangle semblable à un cerf - volant géant évoluant dans une gerbe d'étincelles. Ce fut une véritable masse de témoignages qui arriva au CNES. Ces témoins ont tous bel et bien vu cette nuit - là quelque chose de magnifique qu'ils ne comprennent pas.
Avant de mettre sa caméra en marche, Michel RIBADIERE conclut son introduction en évoquant Jean Jacques VELASCO. Lequel soulignait " qu'il y a 20% de cas inexpliqués qui laissent le doute ".

SERGE PERRONNET, UN UFOLOGUE DE TERRAIN

Notre Responsable des Repas Ufologiques d'ALBI, Serge PERRONNET, toujours très présent et des plus actifs lors des repas de Toulousains, a concentré son intervention sur un corpus de témoignages régionaux du 5 Novembre 1990, puisque lui - même a enquêté sur le terrain. D'une manière générale, pour lui " nul ne nie qu'il y a bien eu rentrée atmosphérique, mais l'hypothèse d'un engin piloté par une intelligence est privilégiée ".

LE LEP D'AUBIN EN AVEYRON SURVOLE PAR UN OVNI Serge PERRONNET a eu la chance d'être sur la région pour rencontrer un panel de témoins situés aux premières loges du phénomène. Il a pu ainsi recueillir un ensemble de témoignages sur un même site et notamment celui des témoins positionnés dans le secteur de Decazeville en Aveyron et plus précisément sur la zone du Lycée d'Enseignement Professionnel d'AUBIN .
" Dans le Village d'AUBIN, se souvient -il, j'ai eu la chance de rencontrer des témoins qui ont observé au niveau de Decazeville durant près de 45 minutes trois grands points lumineux qui arrivaient d'une direction Nord - Sud. Ce jour - là, 5 Novembre 1990, il y avait une grève générale au Lycée d'Enseignement Professionnel d'AUBIN. Le proviseur Monsieur B. avait fait réunir les élèves dans la cour pour vérifier les présents. Ils étaient 200. De la cour, les élèves ont alors observé un engin à 400 à 500 m au - dessus de l'établissement. Un professeur d'Art qui roulait sur la route de NUCES a remarqué une dizaine de véhicules qui stationnaient pour observer le phénomène, il s'est arrêté lui aussi ".
" Des témoins disent avoir vu plusieurs rayons qui sortaient de l'engin en direction de l'Église du village. L'objet avait un trou noir et plus tard une sorte de boule lumineuse. Le Directeur de l'École a fait d'ailleurs dessiner aux élèves ce qu'ils avaient vu. Le lendemain du phénomène il y avait la queue à la gendarmerie. Plus tard, j'ai essayé de rencontrer le Proviseur du Lycée Monsieur B. "
" Mon ami, Claude LABAT a publié un libre " L'hypothèse Extraterrestre Généralisée ". Il a lui - même été témoin du phénomène du 5 Novembre 1990 d'après ses calculs d'ingénieurs l'objet aurait 15 kms de diamètre et se situait à 125 kms d'altitude ".
Serge PERRONNET a cité l'incontournable Rapport COMETA remis à Lionel JOSPIN en 1999, soit près de 8 ans plus tard. Rapport qui fut transmis à l'Armée, qui à son tour, communiqua des données aux scientifiques. Il dit constater que ce sont souvent les scientifiques qui bloquent les informations qu'ils étudient.
Faisant écho au cas du LEP d'AUBIN en Aveyron, Franck MARIE évoquera le cas des étudiants de la Fac d'ORSAY qui auraient eux aussi fait une observation d'OVNI.
Serge PERRONNET mentionnera que Christian COMTESSE - le président des repas Ufologiques - en France aurait rencontré PPDA en personne à la suite du journal de 20 h présentant le phénomène du 5 Novembre 1990. Il aurait également contacté l'INA (Institut National Audiovisuel) afin d'obtenir une copie du journal et il lui a été impossible d'avoir l'enregistrement de l'émission en question.

FRANCK MARIE, PARFAIT ANALYSTE DE DONNEES
En tant que Directeur de la Banque OVNIS, Franck MARIE, a souligné la remise en question de l'hypothèse " des météores qui se suivent " dans le cadre du cas du 5 Novembre 1990. Il a soutenu sa démonstration par un ensemble de données statistiques, suite à trois bonnes années d'études approfondies de plus de 600 témoignages passés en revue un par un.

DES TEMOIGNAGES RECURRENTS
Parmi la spécificité des témoignages, il a pu noter des mêmes témoins pour plusieurs observations suffisamment espacées dans le temps mais significatives. En effet, il se trouve que des témoins d'observation antérieures, et notamment celles du 23 septembre 1986, ont également été témoins de l'OVNI du 5 Novembre 1990. Ils disent bien avoir vu " un truc gigantesque ".
Il est donc intéressant de voir quel lien établir entre l'explication du 23 Septembre 1986 et les évènements du 5 Novembre 1990 et d'étudier les données fournies, et ce, d'autant plus par des témoins ayant déjà été confrontés inviduellement à ce phénomène.
L'analyse des moindres indices : que cela soir le lieu, le jour, l'horaire, la position des témoins, le moindre détail de description, les comportements, la nature des manifestations de l'OVNI, la trajectoire…etc …montrent qu'ici on prend en compte la moindre variable prêtant à creuser d'avantage les pistes de recherches. L'ensemble des témoignages et leur diversité attestent une fois de plus à quel point ceux - ci sont une précieuse matière première de données à rassembler, ordonner, décrypter au cas par cas, mais aussi en confrontant les différents niveaux des variables de ces mêmes données et leurs anomalies.
Franck MARIE a fait un premier constat concernant la vague du 5 Novembre 1990, notamment sur la répartition horaire. A 19h 07 aurait été identifiée une rentrée de satellite selon les données de la NASA. Hors comment expliquer que dans le reste de la France, des groupes de témoins auraient fait des observations dès 18 h 55 et auraient été précis sur l'heure de leurs observations ?
En fait, il semblerait que dans son ensemble la durée de la vague d'observations aurait duré de ¼ heure à plusieurs jours, entre les 4, 5 6 et 6 novembre, avec des pointes et des pics d'observations de manifestations à 95%, particulièrement le 5 Novembre 1990.

CAS DE DEMATERIALISATION
Au regard de la somme des descriptions de l'OVNI par les témoins, Franck MARIE a avancé la possibilité de matérialisation et de dématérialisation d'OVNI, puisque dans des cas d'observations, l'objet semble apparaître mais aussi disparaître tout aussi instantanément.
Il a relaté l'une des descriptions au cours de laquelle au bord de la mer, certains des témoins auraient vu monter une sorte de champignon accompagné d'une explosion au cœur rougeoyant avec des boules de lumière, suivi encore de l'apparition d'un triangle avec les pointes lumineuses. Au centre, on pouvait apercevoir les étoiles laissant supposer une transparence, celle -ci devenant par la suite opaque.
Franck MARIE a effectué une analyse par département, notamment dans les Hautes - Pyrénées (65) et dans les Pyrénées Atlantiques (64). Il a pu constater une même description par témoin et par département. L'ensemble des témoignages s'accordant sur l'observation de boules qui semblent s'organiser pour former un triangle et qui circule à l'horizontal.
LES INFLUENCES PHYSIQUES ET PHYCHIQUES

Les témoignages interrogent aussi sur l'influence physique et psychique du phénomène et les séquelles possibles, s'est rendu compte Franck MARIE.
- En illustration, voici le cas d'une personne âgée alitée, qui attendait que sa fille vienne fermer les volets de sa chambre. Cette dame affaiblie s'est alors trouvée pleine d'énergie et s'est levée pour les fermer elle - même et elle a observé un objet stationnaire au coin de la maison.
- Autre cas : en pleine nuit, un témoin se réveille soudain, va lui aussi à sa fenêtre et voit un objet stationnaire puis il va se recoucher. Mais toute les demi - heures, il a le réflexe de retourner à la fenêtre.
- Ou encore le témoignage d'une dame qui passant en voiture dans le rayon de l'engin et a constaté qu'à la suite la radio de son véhicule étaient hors service.
- 5 ou 6 mois après nous avons recontacté les témoins, confie Franck Marie. 5 d'entre eux sur 600 avaient un rêve en point commun. Ils avaient notamment tous fait un rêve lié à l'OVNI. Leur rêve décrivait une grande place avec une foule. Ils voyaient un pont au - dessus duquel se trouvait un OVNI qui s'avançait vers les témoins et au moment où ils touchaient l'objet, ce dernier disparaissait et ils se réveillaient.
Sur 600 témoins, un témoignage d'un petit garçon de 10 ans est le seul à avoir eu peur devant l'OVNI. Il y a aussi le cas d'une personne qui s'est suicidée après une manifestation.
LA CLASSIFICATION DES TEMOIGNAGES

Franck MARIE a observé que la diversité des témoignages a permis identifier la présence de bruit ou de son à partir de 2 groupes de témoins pour un même OVNI et dans un même lieu.
- Un groupe situé à 40 m de l'objet a entendu comme un ronflement sourd.
- Et un groupe plus éloigné de l'objet n'a pas entendu de bruit pour le même objet.
Il y a donc une estimation du bruit selon le lieu et la distance d'observation des témoins. D'autres statistiques ont aussi été établies à partir des données sur les alignements de sites et les observations des témoins. Des descriptions ont fait état de sorte de réacteur à l'arrière de l'engin avec de la fumée tournant sur elle - même et des particules avec des petits d'éclairs bleus. On constate aussi qu'il y a évolution du gabarit : les poids lourds et les autres.
Les témoignages mentionnent la présence de réacteurs qui s'allument et s'éteignent.
Nous avons travaillé sur plus de 70 cas pour faire un portrait robot, informa Franck MARIE Toujours est-il que ce 5 Novembre 1990, Franck confirme bien qu'il y a eu une présence OVNI anomale, au vu du nombre de départements survolés et nombre de cas de témoignages, notamment une vague sur le secteur de Narbonne et dans l'Aude.
D'autre part, l'étude s'appuie aussi sur des clichés photographiques permettant d'identifier s'il s'agit bien d'un même objet sur la période d'observation donnée.
Concernant les rencontres rapprochées, autre qu'avec des objets, Franck MARIE attesta qu'il y eut des observations très proches, mais pas d'atterrissage humanoïdes. Il avança cependant qu'il y a " la preuve d'un plan qui était scientifiquement développé mais pas de chez nous ".

Tous les Ufologues de ce Repas Ufologique Toulousain remercient vivement nos trois intervenants et amis qui se sont déplacés tout spécialement d'Alsace, du Tarn et de l'Aude pour nous faire partager au - delà de leur passion, ce qui est un indéniable et véritable engagement de chercheurs en Ufologie




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 08 JUIN 2011

Michael Vaillant


Nous étions 1 quarantaine ce soir venus écouter Mickael Vaillant , un désormais habitué de nos repas , sur ce thème passionnant des crops circles. Son analyse fut des plus pertinentes :

- « Vrai » ou « Faux » crop-circle, ceci est un débat épistémologique extrêmement délicat, jamais tranché. Tout d’abord parce que les critères permettant définir ce qu’est un « vrai » ou un « faux » crop circle n’ont jamais été correctement explicités, et encore moins, n’ont permis d’apporter de consensus. Ensuite, même si de manière souvent implicite, l’idée est que les « vrai » crop-circles soient fondés sur des traces physiques étranges (anomalies) les rendant in reproductibles par l’homme, pour en réaliser la démonstration, il conviendrait de disposer de moyens logistiques, voire de laboratoires. Chose que la plupart des personnes intéressées ne peuvent se permettre. Et quand cela a été le cas, cela n’allait pas dans le sens d’une présence « exogène » (voir le rapport VECA).

- Pour comprendre les auteurs, il reste à la majorité des observateurs, l’approche par le sens. La recherche d’un sens se doit ouverte, et ne doit pas ignorer le fait que le phénomène agrège de multiples acteurs aux motivations diverses. Il ne peut y avoir une unique explication.

- L’approche ici présentée est « nouvelle » en ce sens qu’elle se veut aussi globale que possible. En offrant une vue synthétique sur un ensemble de crop-circles, non pas une analyse individuelle et isolée des crop-circles, mais par l’étude d’environ 1400 cas.

- Le travail présenté a nécessité la création d’une base de données et l’enregistrement des informations détenues sur ces crop-circle : date de découverte, lieu, type de culture, symbole.

- Cherchant à faire émerger un sens, un premier classement émerge et il est basé sur des conditions de nature géométrique ou descriptive. Il émerge ainsi un certain nombre de catégories, dont l’une d’elles regroupe les crop-circles de nature symbolique, c'est-à-dire reproduisant les symboles archetypiques de l’histoire de l’humanité.

- Les symboles reproduits ont été à l’origine créés par l’ensemble des civilisations, ils touchent à des dimensions spirituelles, mathématiques et astronomiques. Cela touche au questionnement meta-physique et à la place de l’homme dans l’univers.

- On observera ensuite une relation étroite entre le contexte historique des symboles portés par certains crop-circles et les sites à côté desquels ils fidurent. Ces sites sont très souvent des lieux anciennement occupés par l’homme : Stonehenge, Uffington, Silbury Hill, North Ashbury, Willmington, etc. Les auteurs jouent de cette corrélation de nature temporelle entre les symboles qu’ils expriment et l’âge des sites choisis occupés par l’homme à des époques anciennes et parfois semblables.

- Cette prédilection pour les corrélations spatiales et temporelles est une marque de fabrique des crop-circles makers, elle incite à observer et rechercher des relations chronologiques entre les symboles réalisés.

- Un second travail montre que pour ceux d’entre eux qui sont reconnaissables, ils peuvent être organisés dans le temps qui année après année, suivant une chronologie qui suit l’histoire humaine, allant des plus anciennes civilisations aux plus récentes : Mother Earth Goddess, Triskele, Winged Disk, Dharma, Book of mutations, écriture Epi-Olmèque/Maya, etc. En pratique, la chronologie qu’ils décrivent progresse de 400 ans par année réelle.

- Malheureusement, confronter cette vision symbolique qui émerge du terrain à une chronologie exhaustive des cultures et des symboles qu’elles ont générées, à leur datation, est difficile : il n’existe aucun travail scientifique suffisamment complet à ce jour.
- José Arguelles, un professeur d’art américain, proposait néanmoins une vision chronologique de notre histoire en tout point comparable à celle créée par les crop-circles makers. Elle est basée sur de 13 tranches de 397 années, ou 13 baktuns.
- José Arguelles, est fondateur d’un mouvement international et essentiellement anglo-saxon (Planet Art Network) ayant pour objectif de réhabiliter les calendriers Mayas, car basés sur des cycles naturels. Et le baktun en est un, sachant que 13 baktuns composent une ère Maya.
- José Arguelles promeut la fin de nos civilisations actuelles avec l’avènement de la fin de l’ère Maya courante, qu’il a calculé à partir de son interprétation de la pierre du soleil pour le 21 décembre 2012 (c’est notamment lui qui est à l’origine de la propagation de cette idée).

- Partant du calendrier des 13 baktuns, je décris une méthode qui permet d’associer à tout crop circle une date dans le passé, date à laquelle il pourrait être lié. Pour cela il faut tenir compte : de la date d’apparition du crop-circles, du point médian de la saison des crop-circles et de l’écart type. Cette méthode calcule assez correctement la date d’émergence de certains symboles déjà observés. - Suivant cette chronologie, le temps présent devait être rattrapé fin 2013.

- Il est tout à fait possible, pour de nombreuses raisons évoquées dans la présentation que José Arguelles et ses équipes aient été à l’origine de nombreux crop-circles, en ce qu’ils illustrent sa pensée. On notera que José Arguelles est décédé cette année, le 23 mars 2011. Cela aura-t-il un impact sur la production des crop-circles en 2011 ? S’il y était engagé, comme il est possible de le penser, il est tout à fait envisageable que la saison 2011 soit « anormale » (baisse des crop-circles symboliques et de leur qualité).

- Nous observerons finalement que la période couverte par les symboles des crop-circles, couvre des années 1985/1986 à nos jours (bien qu’il y en ait toujours eu, mais considérablement moins). Ces 26 dernières années couvrent l’holocène, cette période d’exceptionnelle stabilité climatique que nous vivons depuis 10000 ans. L’holocène signe le point d’émergence des civilisations par… la naissance de l’agriculture.

- Le message, touche à la culture, notre valeur ajoutée en tant qu’espèce humaine. Notre culture émerge par une syntonie entre l’intelligence émotionnelle des êtres et l’environnement immédiat dans lequel ils vivent, l’harmonie qu’ils y construisent.

- La culture est unique et non reproductible, car nécessite une période d’adaptabilité et de recherche d’équilibre longue. Elle se construit par la maîtrise de plus en plus grande de l’homme sur son environnement.

- Le phénomène des crop-circles reproduit d’une certaine façon une synthèse de notre mémoire symbolique humaine, en fournit une rétrospective accélérée. Les auteurs donnent l’impression de reconstruire le phénomène des « Expériences de Mort Imminente » vécue par certains individus qui au seuil du passage vers la mort voient leur vie défiler à l’accéléré. Est-ce une façon, là encore, de nous signifier : « voyez ce que vous avez construit en tant que civilisations, car vous touchez au seuil d’une nouvelle ère ».

Merci Mickael pour toutes infos et voyons ce que nous réserve la saison 2011...



REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 14 septembre 2011

Mr Passot, nouveau directeur du GEIPAN


À la suite de la nomination au GEIPAN de son nouveau directeur en mai 2011, les repas ufologiques toulousains ont reçu Xavier Passot le 14 septembre 2011. Mr Passot qui a postulé à ce poste pour succéder à Mr Yvan BLANC, est ingénieur informatique et il suit la lignée de ses prédécesseurs (Messieurs Velasco, Patenet et Blanc) dans l'exercice de la conférence aux repas ufologiques Toulousains.
Nous avons pu découvrir un homme chaleureux et très proche des ufologues présents, qui ont applaudi chaleureusement son intervention.

Mr Passot nous a confié s'intéresser depuis 15 ans ou 20 ans au phénomène ovni à titre personnel sans être cependant "un accroc" au sujet. Il aime la science-fiction et avoir accès aux informations brutes des anciens et nouveaux cas qui pourraient se présenter à l'avenir. Le GEIPAN, était donc pour lui la meilleure occasion d'aller à la source de cette information.

Lors des repas, il nous a expliquer comment il comptait diriger le service, traiter les centaines de dossiers en retard au plus vite et montré les diapositives de nombreux cas "expliqués" qu'il avait résolu dans ses dossiers.


À l'issue de son intervention, nous avons été unanimes pour dire que les dossiers du GEIPAN sont entre "de bonnes mains" et nous sommes persuadés qu'il saura défendre notre "cause" dans le bon sens auprès des médias et du grand public.

Encore merci à lui de s'être prêté avec si bonne humeur au petit jeu des questions-réponses en public et nous espérons le revoir bientôt parmi nous.




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 12 OCTOBRE 2011

LE RENDEZ VOUS DES TROIS MOUSQUETAIRES DE L'UFOLOGIE




Le mercredi 12 octobre, les " trois mousquetaires de l'Ufologie " sont spécialement venus à Toulouse pour présenter leur ouvrage " OVNIS en France ". L'auteur principal Georges METZ, et ses co-auteurs et fidèles compagnons d'investigation : Gérard DEFORGE et Jean Claude VENTURINI, ont honoré de leur présence et animé ce premier Repas Ufologique Toulousain de l'automne à La Taverne de Maître Kanter.Nous étions 70 personnes venues les écouter.

L'ouvrage, paru aux Editions ATLANTES INTERKELTIA, est consacré à 40 ans d'investigation sur les apparitions d'OVNIS et les témoignages de contactés au sein de l'Hexagone.
Pour la circonstance, le trio d'enquêteurs était accompagné d'un témoin exceptionnel, Robert, un contacté de notre région. Son témoignage unique, relaté dans l'ouvrage, s'inscrit parmi les cas historiques les plus extraordinaires. Il figurerait au nombre des quelques 300 000 témoins évalués disant avoir déjà eu des rencontres extraterrestres rapprochées.

Bien entendu, Roch SAUQUERE du magazine TOP SECRET, mais aussi Gilles THOMAS de ODH TV, tout comme Serge PERRONET responsable des Repas Ufologiques d'ALBI n'ont pas manqué d'être ce jour en " grand reportage " à Toulouse.

UN DOCUMENTAIRE EN ILLUSTRATION DE 40 ANS D'ENQUETES SUR LES OVNIS EN FRANCE
Ex - technicien aéronautique de chez Dassault, Georges METZ, incontournable collaborateur du Magazine " Lumière dans la Nuit ", et spécialiste des enquêtes sur les cas d'OVNIS en France et notamment de la problématique des contactés, a présenté un diaporama documentaire en illustration de son ouvrage. Cette mise en images commentée en direct par Georges METZ lui - même, a permis de mieux visualiser le travail accompli au cours de toutes ces années d'investigation et d'identifier certains des acteurs " malgré eux " - il faut bien le dire - du phénomène OVNIS. Cet outil de communication fait foi du sérieux d'une telle recherche et de sa diffusion auprès d'un public pas seulement " averti ", tant il interpelle dans le détail.

En bon pédagogue, notre ufologue chevronné a dressé la synthèse des principales manifestations des phénomènes et une série d'échantillons de témoignages significatifs rendant compte de différents cas. Le documentaire fera un " zoom " sur leur diversité et montrera les multiples possibilités de manifestations et de perceptions ainsi que les effets et conséquences sur les témoins. De séquences en séquences Georges METZ évoquera :
- Le cas dit du Val d'Oise et ce témoin musicien qui, de retour chez lui sur les 4 h du matin, apercevra trois objets qui descendent.
Il effectuera d'ailleurs un dessin. Ces représentations n'étant étrangement pas sans rapport avec les notes de musique. Dans le même temps, une voisine confirmera d'ailleurs des manifestations.
- Une photo du groupe d'enquêteurs permettra de reconnaître Gérard DEFORGE., ainsi que le principal témoin de l'affaire Haravilliers devenu un peu médium.
- Le témoin Michel de Bray sur Seine, quant à lui a été marqué par pas moins d'une vingtaine de phénomènes paranormaux. A 17 ans, il s'est trouvé confronté à un OVNI. Il décrira un objet en forme de champignon avec une porte en dessous à l'intérieur de laquelle il dit avoir eu juste le temps de passer la tête, au risque d'être soudainement éjecté.
- Quand ce n'est pas un autre cas de figure d'un OVNI en forme de boomerang.
- Et que dire de cette étrange apparition d'oiseau préhistorique semblable à un ptérodactyle accompagné de 5 hélicoptères.
- Sans parler du curieux " passager sous la pluie " ou la vison de l'entité d'un homme en noir qui traverse une route de campagne en quelques enjambées, disparaissant subitement. Intrigué le témoin le cherchera sans succès.
- Parmi " les pièces à conviction " figurent également des illustrations d'Ovni en forme de couronne où apparaîtraient des portes qui ne se voient, pas mais qui soudain se dessinent puis disparaissent selon les visions rapportées par certains témoins.
- De même, un gros plan sur la photo d'une fresque de la cathédrale de Rodez représente la mort de la vierge. La dépouille étant surmontée d'un étrange chapeau, ce qui reste inhabituel dans ce type de représentation religieuse.
- Georges de METZ mentionnera le Cas Ermont dans le Val d'Oise en 2001 ou encore les manifestations survenues au niveau de la Base de Taverny. Suivront une série de photos " souvenir " des Rencontres de Châlons, où notamment le témoin Michel guérit le bras ou le poignet d'une personne. Lors de ces rencontres, était également présent Gilles PINON - auteur du fameux livre sur Fatima et de la Lettre ouverte au Président de la République.

UN RENDEZ - VOUS EXTRATERRESTRE A LA FERME DE ROUMAGNAC.
En préambule à l'intervention très attendue du Contacté Robert, un court métrage dévoila les coulisses de l'enquête menée sur le terrain sur le cas de la fameuse Ferme de ROUMAGNAC en Aveyron. Et comme le précise la bande - annonce de la vidéo : " Ce que vous allez entendre n'est pas le fruit de l'imagination ". Son exceptionnelle aventure a même inspiré une bande dessinée. Et Robert put évoquer en direct cette expérience hors du commun.

Voici donc que les extraterrestres content aussi fleurette ou presque dans les champs du Causse de chez nous, et peuvent aimablement vous embarquez sur invitation. Reste encore à avoir le bon profil. Ce fût bel et bien le cas de Robert, un contacté qui fut, si l'on peut dire enlevé " de son plein gré " ou plutôt invité sur proposition d'une délégation extraterrestre.
Actuellement âgé de 65 ans, ce témoin unique dit avoir été contacté à l'âge de 20 ans et aurait vécu durant 11 mois dans une base souterraine extraterrestre située sur notre planète entre la Chine et l'Inde. Ces visiteurs lui auraient néanmoins demandé à l'époque de garder le secret durant une quarantaine d'années. Et ce n'est que depuis 2088 qu'il dit avoir été " libéré de parole " et commença à révéler une partie de cette rencontre des plus sidérantes ….pour le pas dire sidérale. .

Comme l'a fait remarqué Georges Metz : issu d'une petite famille d'agriculteurs de l'Aveyron, rien ne semblait prédestiner Robert à l'improbable, et oh ! combien impensable aventure qu'il allait vivre d'abord en plein causse isolé à la ferme de Roumagnac au cœur de l'Aveyron, puis bien au delà de son simple terroir agricole. De nature plutôt fragile et sujet à de nombreux maux de tête, l'adolescent habitait alors en compagnie de ses parents et de sa grand - mère.
Il y a donc maintenant plus d'une bonne quarantaine d'années, dès juin 1966, Robert et sa famille ont vécu leurs premiers phénomènes OVNIS. Parmi les membres de la famille, c'est néanmoins le jeune adolescent qui fera l'objet de toutes les attentions extraterrestres. D'ailleurs tout au long de cette relation d'une autre dimension, ses visiteurs le surnommeront affectueusement " Roro "..
D'abord ses parents et plus exactement son père assisteront un soir à un étrange ballet de boules lumineuses, puis à l'apparition d'une sorte de " cigare " dans un champ. Cigare d'où allaient et venaient ses mêmes boules. Tout d'abord incrédule face au récit plutôt burlesque de son père qu'une bonne tisane suffirait à calmer, quelques jours plus tard, pour Robert de force sera de constater de ses propres yeux l'incroyable phénomène, et même d'en devenir le spectateur, si ce n'est l'acteur principal. Téméraire, il tentera même de poursuivre en voiture l'une de ces boules pour tenter d'en identifier la nature.

Quelques mois plus tard, en Janvier 1967, circulant sur les coups de 22 h - 23 h alors en voiture, Robert apercevra une soucoupe à deux dômes. Son véhicule calera et il sentira la température étrangement monter à l'intérieur. Sans explication aucune, il se réveillera dans le fossé à 4 h du matin. Durant les 15 jours qui suivront, il sera dans un état soporifique allant jusqu'à dormir 18 h par jour avec la sensation de sortir de son corps. Des apparitions d'entités commencent alors à se manifester dans sa chambre qui se situe à l'étage de la ferme. Celles-ci paraissent traverser le mur et environ 9 présences viennent le visiter dans sa chambre à laquelle semble se superposer une autre salle " virtuelle ".

UNE BASE EXTRATERRESTRE SOUTERRAINE EN ASIE.
Robert décrira ses visiteurs comme des créatures à la peau sombre, bronzée, les yeux style oriental.
Parmi ces personnages : 2 retiendront l'attention de Robert : Et le premier personnage qu'il nommera " Le Guide " lui demandera s'il accepterait de les suivre dans une grotte à la frontière de la Chine et de l'Inde durant 11 mois. Il soulignera que ces visiteurs lui laisseront le temps de la réflexion. Un second personnage qu'il baptisera " la biologiste " lui aurait annoncé qu'on lui apprendrait le yoga, dès le 1er octobre 1968. Trois plus tard, l'imminent rendez - vous du départ quant à lui était programmé pour le 7 janvier 1969 ….. " à côté du cerisier ". Cette année - là Robert allait avoir 23 ans. Ces visiteurs préciseront " tu verras une lumière jaune qui s'allumera ". Le jour de cet étrange embarquement, RORO avouera avoir eu tout de même " une grosse frayeur ". Il partira, précisera t-il, sans bagage et portera durant son séjour une sorte de combinaison antiradiation. L'accès de la grotte s'effectuait en ascenseur, et la température de la base souterraine voisinait les 21°.

LES CLES D'UN ENSEIGNEMENT UNIVERSEL
Au programme de cette " année sabbatique dans cette Ecole Extraterrestre secrète " Robert y apprendra donc le yoga, mais aussi la philosophie, et étudiera la plupart des planètes. Depuis 40 ans, RORO pratique d'ailleurs ce qui s'apparente effectivement au yoga sans le connaître du moins par l'apprentissage classique. Une vidéo accrédite sa pratique quotidienne d'1h 15 et a été soumise à des professeurs spécialistes qui confirment des liens au Hata Yoga.
Robert aurait été choisi à cause de ses caractéristiques, et des prélèvements de sang auraient été effectués.
Au cours de ses différents enseignements, notre élève terrien apprendra que l'univers se crée tous les jours ; et que de la plus grande molécule à la plus infinie molécule, tout appartient à un schéma énergétique qui dépasse tout ce que l'on peut imaginer. Il y aurait ainsi plusieurs univers à plusieurs niveaux de densité. Et il y aurait la possibilité de créer des tunnel de passage non pas en passant en ligne droite, mais en étirant le temps.
Ces visiteurs lui auraient appris que la race humaine est une grande race, mais aussi qu'elle est variée comme les fleurs le sont.
Cependant ils auraient signalé, que la vision des représentants de chaque religion reste éloignée de la vraie réalité de l'ordre de l'Univers tel qu'il est.
Il apprit également que le corps principal - autrement dit énergétique - ne peut être détruit et le corps physique considéré comme secondaire peut être décalé dans le temps, cependant uniquement par des entités supérieures. De même, la mort n'existerait pas, mais correspondrait à une modification de champ vibratoire
Il comprendra aussi que les fameuses boules de lumière vues à la ferme étaient constituées de matière organique pour mesurer le degré de chaleur et détecter les présences.
Parmi cet ensemble de l'enseignement auquel Robert eut accès, seules certaines parts à restituer lui ont été " autorisées ". Un enseignement concernant un haut niveau de yoga dit mental restant encore confidentiel, pour ne pas dire inaccessible et dont il dit encore poursuivre l'apprentissage, sachant que cet enseignement court en totalité sur 9 cycles de 7 ans.

SORTIE AERIENNE
Ces hôtes lui proposeront même de faire une sortie aérienne au dessus de la France, et plus exactement le 27 Octobre 1969. Parmi l'équipe, le fameux guide lui aurait précisé que ce vaisseau n'attaque personne sur terre. L'armement étant disproportionné, sachant que rien de solide, de liquide ou de gazeux ne peut pénétrer dans ce vaisseau. Le guide aurait ajouté " une attaque de notre part cela serait une faute grave au plan de notre hiérarchie ". Le vaisseau serait donc passé autour d'un mirage 3 en vol. RORO précise qu'il pouvait voir une représentation du tableau de bord du mirage dans l'OVNI lui - même. Tout comme de la Base Souterraine, parfois, on lui fit voir sa famille évoluer à la ferme, grâce à un système d'écran à la technologie très particulière.

UNE REUNION AU SOMMET
RORO pu assister en " exclusivité terrienne " à une réunion extraordinaire, mais juste en spectateur. Il raconte qu'autour d'une table ovale, des êtres apparaissaient comme s'ils venaient d'un autre espace et semblaient appartenir à différents types de races. Notamment des trapus qui mesuraient environ 1m10 à 1m20 et qui avaient l'air de tenir une place importante. Les participants se matérialisaient les uns après les autres rapidement sur les fauteuils. La discussion semblait uniquement mentale, mais parfois certains parlaient une langue inconnue, voire même prononçaient uniquement des sons. Au milieu de la table, se trouvait une lumière d'où Robert a pu percevoir des visions de différentes planètes et soleils en relief, et parmi lesquels il remarqua un univers à trois soleils. Ces visiteurs lui diront provenir d'une galaxie voisine de la nôtre, et qu'ils pouvaient raccourcir ou étirer le temps. .
Donc 11 mois plus tard, Robert reviendra " tout naturellement " ou presque - mais plus tout à fait le même - à la ferme de ces parents. Ces aimables visiteurs sauront aussi rester très " terre à terre ", puisqu'ils lui remettront tout de même " la coquette somme de 27 000 Francs de l'époque dans une enveloppe jaune de la Poste " en remerciement de sa précieuse collaboration.

Après cette extraordinaire " histoire du soir ", et nuit de pleine lune, lequel des ufologues Toulousains n'a pas rêvé un instant d'être invité à son tour pour une expédition extraterrestre dans quelque base souterraine. Reste, bien sur à avoir le bon profil inscrit au cahier des charges de nos visiteurs ?

Merci a nos 3 mousquetaires et a Robert de nous avoir fait passer cet excellent moment .




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 9 NOVEMBRE 2011

JEAN JACQUES VELASCO, UN EXPERT LONGUE PORTEE



Bien connu du monde ufologique, Jean Jacques VESLACO, l’Ancien Directeur du GEPAN, puis du SEPRA, est venu faire « une rentrée atmosphérique » remarquée au repas Toulousain du mercredi 9 novembre dernier. Sans jamais perdre de vue son « optique », cet expert d’envergure n’a eu cesse de poursuivre sa recherche et de progresser dans l’analyse des données et la proposition d’une synthèse tout à fait personnelle et scientifique. Depuis qu’il n’est plus en charge de sa mission officielle au CNES, il se consacre pleinement à son étude de l’hypothèse extra - terrestre. Son brillant exposé a retenu l’attention d’un parterre toujours aussi initié d’une bonne soixantaine d’ufologues.

FOO FIGTHERS ET GOSTH ROCKETS MADE IN USA
Jean jacques VELASCO entamera un nécessaire point historique, rappelant que :
- surtout à partir de la 2ème guerre mondiale, un certain nombre d’éléments ont été observés. Notamment les Foo Figthers ou boules lumineuses. Les Américains pensaient alors qu’ils s’agissaient des Allemands et vice - versa. Plus tard, juste après la guerre du côté de la Norvège et de la Suède de nouveau faits ont été observé cette fois - ci les Ghost Rockets tellement spectaculaires que l’Amiral HILLENKOETTER, qui deviendra le premier chef de la CIA, va jouer un rôle déterminant plus tard sur la question, en fera un rapport complet à l’ambassade américaine. Quelques années après naîtra le NICAP¨le premier groupe UFO Américain concernant la collecte des données menée par le Major Donald KEYHOE. Ce dernier d’ailleurs tentera d’infléchir cette question au Sénat, mais en sera empêché par HILLENKOETTER lui - même !
- Entre 1947 jusqu’à 1980, nombre d’évènements à travers la planète alimentera le sujet. Le premier document officiel classifié remonte à 1947. Le 24 septembre de cette année, le Général TWINING remet un rapport au Général SCHENGEN sur les « disques volants » mentionnant « que l’on a à faire à des objets artificiels de forme circulaire, métalliques et qui ont des caractéristiques d’évolution tout à fait spectaculaire ». `Par ailleurs, le Capitaine RUPELT, 1er chef du Rapport BLUE BOOK, consacrera un ouvrage faisant état de ce genre d’évènements dans lequel il confirmera l’existence de ce rapport ainsi que de la prise en compte au plus haut sommet de la défense de la question des « soucoupes volantes ».
- 1952 marque une période durant laquelle les manifestations UFO s’accentuent. Enjuillet 1952, est enregistré le fameux Carrousel de Washington. Toujours en juillet, à 15 jours d’intervalle, les autorités civiles ont des témoignages de pilotes qui observent des lumières. Ces lumières dont ils se rapprochent, mais qui soudain disparaissent. Un avion de chasse est envoyé en interception, et aussitôt les lumières disparaissent pour réapparaître sitôt l’avion de chasse reparti à sa base. Deux semaines après le même scénario se reproduira sous les yeux de l’Etat Major de l’Armée de l’Air US ! Immédiatement après aura lieu une conférence de presse. L’armée américaine déclarera qu’il s’agit d’un phénomène d’inversion de température, alors qu’un scientifique de renom, le docteur Mc Donalds, confirmera qu’à cette période cela n’était guère possible en l’état.

GROS PLAN SUR LE CIEL DE FRANCE
Pendant ce temps, la France n’échappe pas aux phénomènes. Le premier cas connu raisonnablement date de 1951 et a perturbé les autorités militaires. Celui - ci s’est manifesté au - dessus de la région d’Orange. Des avions vampires de l’armée ont tenté d’intercepter un objet discoïdal sans succès. Un rapport a été rédigé et transmis à l’Etat Major de l’Armée de l’Air à Paris. C’est ainsi qu’à la suite de cet événement, la première cellule d’étude et de suivi a été crée au sein de l’Armée de l’Air.

TIRER LE BON GRAIN DE L’IVRAIE DES DONNEES
L’année 1954 s’illustrera par la fameuse vague UFO, qui de septembre à janvier, souffle étrangement sur l’Europe du Sud et notamment les cas de rencontres rapprochées. JJ VELASCO soulignent que sur 120 cas concrets recensés, 20 sont considérés comme des rencontres rapprochées. Alors, on ne parle pas d’OVNIS mais de MOC ou « Mystérieux Objets Célestes ». Ces cas ont d’ailleurs fait l’objet d’un débat à l’Assemblée Nationale.
Ainsi, les données sont certes recueillies, mais la question se pose : que faire de celles - ci ? L’objectif face à ces phénomènes étant, en premier lieu, que l’on ne soit pas agressé par des ennemis. C’est la raison pour laquelle l’Armée de l’Air a été saisie, explique JJ VELASCO. Le journaliste Jean Claude BOURRET a proposé qu’il fallait aller plus loin que le recueil des données. Un premier Rapport de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale verra le jour. Un second rapport issu d’anciens membres de cet institut fera parler de lui en 1995 avec le fameux rapport COMETA. Si 1977 signe la création du GEPAN, son rôle ne sera pas de pas de trouver des OVNIS, mais de trier, classer, analyser et expertiser les données pour engager des études et recherches sur ces évènements.
Jean Jacques VELASCO souligna qu’un des travers de l’Ufologie est de rassembler tout ce qui est publié sur le net. Il recommande de ne se fier qu’aux vraies données, par exemple : les 12 000 cas du rapport BLUE BOOK dont 787 cas restent non identifiés à ce jour. A ses yeux, ce sont les seuls cas valables à étudier pour voir s’il y a « quelque chose derrière ». Le Rapport BLUE BOOK reconnaît notamment que deux cas non identifiés avec prises de vues de deux films dans l’Utah. Il souligne par ailleurs que l’Armée de l’Air avait équipé dès 1953 des chasseurs à réaction de caméras. Mais seuls les cas aéronautiques retiennent son attention car ils comportent des éléments de preuves sur l’existence physique de ces UFOS. De 1947 à 2000, 1600 cas sont enregistrés en tant que PANS de catégories D - autrement dit non identifiés. Seuls 170 cas comportent des données radar et peuvent avec certitude être exploitées pour démontrer l’existence réelle des OVNIS.
On ne peut que s’interroger sur l’origine d’un objet qui se déplace à 6 fois une vitesse supérieure de nos avions et d’autres qui ont des tailles impressionnantes - comme ce fut le cas en novembre 1986, lors du vol Tokyo - Paris, en passant par Anchorage en Alaska, au cours duquel un commandant de la JAPAN AIR LINES voit un objet de la taille d’un gratte - ciel.
En 1995-1996, Jean Jacques VELASCO en collaboration avec un élève ingénieur analysera ces cas et apportera des analyses qui aboutiront à des constatations tout à fait étonnantes concernant les trajectoires, les vitesses, les accélérations - allant d’un état stationnaire jusqu’à 1000 Kms heure soit MAG 3, autrement dit de 20 à 30 jets – impossibles avec les évolutions aéronautiques de nos avions actuels.
La découverte la plus intéressante concerne les éléments fournis par les pilotes dans la description des aspects comportementaux des OVNIS. Il a été observé que lorsqu’il s’agissait d’un avion civil, il y avait une neutralité de la part de l’objet. Par contre en présence d’un avion de l’Armée, une interaction contrôlée avait lieu. Dans ces cas, les comportements de ces objets vont de l’esquive à des simulations de combats aériens dans 3% des cas.

LES CAS QUI INTERPELLENT
Le 28 janvier 1994, Jean Jacques VELASCO recevra de l’Aviation Civile le témoignage d’un pilote sur la ligne NICE – LONDRES. Cet équipage va déclarer « un truc » insolite à 25 milles nautiques qui croise la trajectoire de l’avion et qui disparaît spontanément. Trois mois plus tard, le SEPRA reçoit le rapport de l’équipage. De son côté, l’Armée de l’Air avait enregistré toute la séquence de l’avion, soit 45 secondes d’observation au radar sur 1 minute dix annoncée par l’équipage, qui décrit un objet énorme de près d’un kilomètre de dimension estimé à 10 000 mètres d’altitude. L’objet, quant à lui, se déplaçait à près de 200 kms heures mesurés par les radars militaires. Hors rien n’a été signalé et l’objet a disparu spontanément. Et il n’y avait pas non plus de trajectoire de fuite. Cependant, une corrélation a bien été notée entre le témoignage de l’équipage et l’absence de trace. Mais certains ont supposé un ballon, hors aucune trace n’a été retrouvée.
Quant au cas de TRANS EN PROVENCE, Jean Jacques VELASCO est catégorique en déclarant « pour moi ce n’est pas un OVNI », au sens littéral du terme, mais un phénomène aérospatial non identifié qui était matériel dont la nature nous est inconnue, car il n’a pas été enregistré par des radars qui prouveraient sa provenance aérospatiale.

LES REFERENCES HISTORIQUES
Dans son étude des phénomènes, JJ VELASCO s’en réfère à l’histoire qui fournit des données susceptibles d’être étudiées, et sur lesquelles vont porter les interrogations, comme par exemple la question du système de propulsion et surtout de la source d’énergie nécessaire pour produire tous ces effets ? Pour illustration : en 1952, le cas du RB 47 est gravé dans les annales de BLUE BOOK de l’Aviation de l’Armée Air et de la Marine. Au Texas, puis au dessus du golfe du Mexique, durant deux heures, un avion a été accompagné par un objet au vu de l’équipage et des radars. Durant toute cette séquence d’observation, la fréquence d’émission de l’objet a pu être enregistrée, elle se situait vers 2300 Méga Hertz.
En 1976, il faut citer le cas de Téhéran, à l’époque du Shah d’Iran. A cette date, les Américains étaient présents sur le territoire. Il y avait un aéroport avec des avions civils et militaires. Et au - dessus de la ville de Téhéran a été vue une énorme boule lumineuse. Les autorités ont envoyé un avion Phantôme chasseur à réaction. Un premier avion décolle, guidé par les radars, et tente une approche d’environ 10 kms. Lorsqu’il se rapproche, l’objet se déplace à la même vitesse et dans le même sens. Soudain, l’objet va venir en direction de l’avion qui ne peut rien faire et décroche sur ordre. Un deuxième avion est envoyé pour tenter de le détruire. Soudain, un deuxième objet sortira du premier. Les commandes de l’appareil seront arrêtées. Il y aura perte de la vision nocturne et neutralisation des systèmes d’armement de l’avion. Ce qui signifie par déduction qu’il y a un système contrôle. Les Américains vont envoyer un rapport par l’intermédiaire d’une agence de sécurité la DIA qui sera finalement déclassifié dans les années 80. Quand le Shah a été destitué, beaucoup de gens vont quitter le pays et le Général PEROUSY va venir se réfugier aux USA et témoigner sur ce cas.
JJ VELASCO confirme que les OVNIS sont des objets physiques artificiels et contrôlés qui dépassent notre technologie à ce jour. Leur mode de propulsion et leur technologique nous sont totalement inconnus. L’expert du GEPAN n’a pu faire ce travail en France qu’à partir de 1995, Car les éléments physiques représentés par les cas radar/visuels n’avaient pas été complètement extraits des bases de données mondiales. On doit ce travail à Dominique Weinstein qui a recueilli tous ces cas mondiaux depuis 1942. Maintenant grâce à l’ordinateur, l’approche informatique facilite le traitement des données, mais il faut toujours une rigueur absolue dans le choix des cas pour analyser toutes ces données.

UNE CORRELATION ENTRE LES OVNIS ET LES SITES NUCLEAIRES
De 1949 à 1953, l’Armée Américaine a enregistré 3000 cas d’observation étudiés par l’Institut BATTELLE dans son rapport SR14. Le même travail que plus tard fera donc le GEPAN. Travail fructueux qui va faire apparaître des paramètres. Singulièrement, il apparaît qu’entre 1947 et 1953, 21% des phénomènes sur 3000 cas se manifestent au-dessus des sites stratégiques et des bases atomiques ! Le cœur même de la stratégie américaine en matière d’armement et notamment nucléaire. La question fondamentale que l’on est en droit de se poser alors : pourquoi les sites nucléaires ?

DU CAVIAR SUR LES DONNEES
Pendant longtemps la consultation des données aux USA n’était guère possible, mais des associations ont réclamé et obtenu à partir de 1976 un droit à l’information. Ainsi, 20 000 documents ont été déclassifiés. La plupart de ces cas ont été « caviardés », autrement dit, volontairement masqués. Ce fut notamment le cas des microfilms du rapport BLUE BOOK, ils représentent quelques 12 000 cas.
Fort heureusement, un exemplaire non caviardé a permis de pouvoir identifier des témoins. Et Jean Jacques VELASCO a pu grâce à cela prendre connaissance des cas et des témoignages permettant de rechercher les éléments de la relation entre les phénomènes UFO et la bombe atomique. Le pic des tests atmosphériques se situe de 1957 à 1962. Son analyse a été approfondie en différenciant les essais tests de bombes atomiques aériens et les essais souterrains. Pour cela, il s’est appuyé sur la période initiale de 1945, date de la « première Bombinette » jusqu’en 1978, voire même jusqu’à 1981, à celle de 100 mégatonnes. Il citera l’essai historique lancé par les Russes en 1963 dont la puissance détruira tout dans un rayon de 100 kms. En totalité, d’après les statistiques, cela ne représente pas moins de 543 explosions de bombes atomiques dans l’atmosphère. Face à l’ampleur de ces essais plutôt méconnus des profanes, Jean Jacques VELASCO rajoutera qu’en comparaison : « TCHERNOBYL et FUKUSHIMA, ce n’est rien à côté ! »
Par conséquence, pendant presque 40 ans, de 1945 à 1982, nous avons, a t - il calculé, absorbé les effets des bombes atomiques, correspondant dans les moments de pointe à un test tous les 3 jours ! C’est sans doute pour cela que les « Docteur FOLAMOUR » ont décidé d’arrêter les essais aériens pour passer en souterrain. De 1963 à 2000 ont eu lieu 1400 explosions d’essais nucléaires souterrains. Ces chiffres sont vérifiables d’après une enquête du sénat français, confirme - t- il.

DANS LES ARCHIVES DU RAPPORT BLUE BOOK
Jean Jacques VELASCO citera notamment le cas de la Base de MINOT dans le DAKOTA du Nord. Sur ce secteur, des bases de missiles Polaris, fusées qui sont porteuses d’ogives nucléaires, sont positionnées tout le long de la zone frontière avec le Canada. Tous les 30 kms, un silo est opérationnel pointant son missile vers l’est en direction de l’URSS. C’est ainsi qu’en octobre 1969, un avion militaire B 52 reçoit l’ordre d’aller au - dessus d’un silo de missile car un étrange objet lumineux est aperçu. L’appareil reçoit l’ordre de tourner autour de l’objet en question. Pendant toute la durée de la opération, les 12 personnes à bord de l’appareil vont être témoins visuellement et sur les écran radar de bord d’une extraordinaire observation. L’objet stationnaire s’étendait sur 300 m de diamètre avec un rayonnement phénoménal. Au bout de 20 minutes, l’objet prendra une trajectoire verticale et s’éclipsera dans le ciel. Les systèmes radios de l’appareil seront interrompus momentanément, sachant que les avions de l’armée sont blindés contre les champs magnétiques. Au même moment, dans le poste de contrôle toutes les alarmes se sont allumées. Une patrouille a aussitôt été dépêchée en urgence sur le site du missile et elle constatera que le couvercle du silo de 20 tonnes était ouvert. Nul n’a pu expliquer cela.
Initialement signalé dans le rapport BLUE BOOK, ce cas n’existait que sur quatre lignes. Mais des enquêteurs privés ont pu retrouver et interviewer tous les témoins et cela a abouti à un dossier de 250 pages spectaculaires sur l’ensemble de ces témoignages qui se recoupent ainsi que des données radars qui confirment la présence de l’objet.
Mais des faits semblables ont eu lieu sur d’autres bases stratégiques nucléaires aux USA, comme Malmstrom en 1968. Voici deux ans, Jean Jacques VELASCO a d’ailleurs rencontré au Brésil un investigateur, Robert Hastings, qui a rédigé une enquête - Ufos and Nukes, Edition Authorhouse - sur les observations d’ovnis au dessus des bases nucléaires et qui arrive aux mêmes conclusions par un biais et une méthode très différente avec des informations de premières mains.
Les Repas Ufologiques Toulousains remercient vivement « Jean Paul PITON » venu nous rendre compte de ces étranges « Manoeuvres dans le Ciel » à une question posée sur les « Crops Circles ». On n’aura appris, et c’est une révélation, qu’il s’agit ici du pseudonyme de Jean Jacques VESLACO ainsi nommé. En effet dans l’ouvrage que le journaliste Nicolas MONTIGIANI a écrit sur le sujet nous apprenons qu’un scientifique français s’était penché sur la question et avait apporté quelques suggestions expérimentales sur une hypothèse.

INTERVIEW EN DIRECT DE JEAN JACQUES VELASCO

Pensez - vous que les Etats connaissent la réponse aux manifestations d’OVNIS ?
Depuis 1947, j’ai le sentiment que les USA ont la réponse. En 1948, l’Affaire MANTEL fut plus importante que ROSWELL pour l’armée de l’air et la défense aux USA. L’armée a tenté d’intercepter un objet non identifié et elle a même perdu des pilotes. Mais le parti a été pris de dénigrer et de truquer les données. Le Rapport CONDON qui date lui de 1969 est un message au niveau de l’analyse. Et récemment devant une pétition des Américains, le président OBAMA lui - même a déclaré « Cela ne représente pas de danger », mais il se refuse de rouvrir le débat.

Quelle est votre position concernant les abductés ?
« Mon sentiment sur les abductés est qu’il y a beaucoup de manipulations. Je ne reste pas inactif sur cette question, depuis que j’ai quitté le CNES. Je connais une certaine affaire MICHALAK en 1972 au Canada. 5 ou 6 bûcherons dans une forêt aperçoivent une grande lueur et un plus courageux que les autres se rapproche. Il disparaîtra durant trois jours et réapparaîtra hirsute. L’enquête de police ne trouvera aucune explication. Au Chili, le Sergent VALDES décrit des conditions similaires. Le point commun à ces histoires semble être le « missing time », c'est-à-dire une compression du temps pour ceux qui vivent l’événement. Mais je reste extrêmement prudent sur la finalité de ces cas, car nous n’avons ni preuve, ni moyen de vérifier ces faits».

Que vous évoquent les événements du 5 Novembre 1990 ?
« J’ai recueilli 800 témoignages dont 20 témoignages de pilotes ainsi qu’une enquête sur le terrain, à laquelle s’ajoute un film amateur ainsi que des photos prises sur un toit. Ce sont les astronomes amateurs qui m’ont apporté confirmation de la correspondance entre les témoignages et la rentrée atmosphèrique du corps de fusée car ils sont très précis. L’altitude, la durée la trajectoire ont pu ainsi être déterminées. Puis, nous avons vérifié les données auprès de tous les organismes : armée, météo, la NASA….. Et ce soir - là, sans équivoque, une fusée PROTON a mis 2 minutes et s’est fragmentée en entrant dans l’atmosphère. On a parlé d’un énorme triangle sans réelle référence. Pour moi, c’est une erreur de perception. Sur 800 témoignages, il y a une similitude avec la rentrée d’une fusée ».

Comment considérez - vous l’hypothèse avançant que les OVNIS seraient faits par les hommes ?
« J’espère avoir démontré le contraire aux vues de la technologie inconnue qui semble être utilisée. Maintenant, qu’il y aurait des infrastructures humaines qui en soient à l’origine, personnellement je n’ai pas émis de théorie à ce sujet ».

Quelles sont les grandes formes d’ OVNIS que vous avez pu mettre en évidence ?
« Il y a des grands stéréotypes et notamment la forme de soucoupe volante - les Flying saucers - décrites dans les années 1945. En 1998, j’ai fait faire une étude par des étudiants de sup aéro avec une modélisation pour la meilleure façon de passer dans l’atmosphère : et il en ressort que c’est la forme de la soucoupe qui semble la plus conforme à une stabilité et une aérodynamique qui empêche l’éclatement de la structure. Sinon les formes décrites vont de la celle d’un immeuble à la celle de bulle. Concernant la forme mais aussi la vitesse, ces objets sont dans une autre dimension physique que l’on ne peut pas cerner pour l’instant.
Sur le cas du vol NICE - LONDRES en 1994, est ce que les passagers ont témoigné ?
« Non, les passagers n’ont pas témoigné, seulement le commandant et les membres de l’équipage. C’est un steward qui a averti le commandant, puis le copilote, mais je n’ai pas pu retrouver le steward ».

Avez - vous abordé le phénomène des Crops Circles ?
« Je m’y suis intéressé de très près. J’ai été interviewé fréquemment sur ce sujet et cela m’intrigue. Des personnes sont venues me demander mon avis et leur soutien dans cette recherche. Je suis intervenu dans un cadre « officieux en accord avec ma hiérarchie au CNES ». Je suis intervenu comme pour toutes enquêtes menées avec la même méthodologie en appliquant les procédures adéquates. Ces personnes sont parties sur les lieux et m’ont ramené des échantillons ainsi que des photos. Dans les années 1990, j’ai consulté un ouvrage illustré de photos dans lequel il n’y avait pas que des blés qui étaient concernés et qui qui font l’objet de crops circles mais aussi des champs de colza. Seulement avec le colza, cela ne marchait pas !
Je me suis concentré particulièrement sur la période saisonnière de Juin - Juillet en m’attachant à la forme de cercle de 50 cm jusqu'à plus de 400 m de diamètres à l’époque avec une complexité croissante d’année en année. A la suite d’étude menée avec des laboratoires de biologie végétale, nous avons constaté qu’il n’y avait pas de différence phytosanitaire entre les blés prélevés en internes et externes. J’ai demandé de prendre des mesures précises et j’ai analysé les photos.
A ma grande surprise, j’ai découvert que les blés n’étaient pas cassés au niveau de la tige, mais juste au niveau d’un nœud. J’ai donc tenté l’expérience en laboratoire avec la conclusion que la cassure s’effectue toujours au niveau de la tige et jamais du nœud. De plus, la mesure sur le terrain a été intéressante : sur les terrains en pente on avait à faire non pas à des cercles mais à des ellipses. Hors, j’ai initialement une formation d’opticien.
J’ai fait aussi une tentative avec un sèche - cheveux en l’appliquant sur les nœuds et j’ai essayé de faire plier au niveau du nœud, mais je n’y suis pas arrivé. Ensuite, j’ai demandé à L’INRA de cultiver du blé dans des pots. Je me suis également rendu dans un laboratoire de l’armée et j’ai utilisé un laser pour expérimenter un test sur les blés. J’ai testé 20 pots et j’ai pris des photos. Le lendemain, le laboratoire m’a appelé et m’a dit « Vous avez des drôles d’effets », car plusieurs pots présentaient des similitudes avec ce qui était constaté dans les champs de blé en Angleterre. J’ai ensuite fait un rapport que j’ai transmis à ma hiérarchie et j’ai communiqué aux autorités militaires françaises le résultat de mes investigations sur le sujet.

Peut- on imaginer que derrière les corps circles il y aurait un dispositif militaire ?
Je constate que tous les terrains où ont eu lieu ces phénomènes sont militaires. Les crops circles peuvent être le résultat d’une stratégie militaire à base de champs électromagnétiques (micro - ondes) qui pourraient servir au développement d’armement stratégiques concernant un bouclier spatial et son application du sol vers le ciel et vice versa. Mais là, encore je reste extrêmement prudent ».




REPAS UFOLOGIQUE TOULOUSAIN MERCREDI 14 décembre 2011

Nous étions une trentaine pour ce dernier repas de l année 2011, venus malgré le gros froid !!
Cette soirée fut malgré cela fort bien animée par 4 intervenants. Benoit , Elias et Benoit Ve nous ont parlés de leur approche de l ufologie et de certains cas très intéressants . Puis nous avons eu le plaisir d accueillir le peintre BORIS BARBEY venu spécialement de Bordeaux pour nous faire partager sa vision artistique et colorée des ET ...Tout un monde très sympathique et joyeux !!

Lors de ces repas, Benoît nous a fait le compte-rendu de lecture de deux ouvrages qu'il a lus récemment : Dans les archives inédites des Services secrets. 1 siècle d'espionnage français. Sous la direction de Bruno FULIGNI aux éditions de l'Iconoclaste, 2011 ; et Guerre froide et espionnage naval de Peter A. HUCHTHAUSEN et Alexandre SHELDONDUPLAIX aux éditions Nouveau monde.
Ces deux ouvrages ne sont pas des ouvrages ufologiques mais des livres d'histoire traitant d'ufologie dans un chapitre et là est la grande nouveauté : le thème qui nous intéresse semble se « désincarcérer » peu à peu de la marginalité : dans le premier ouvrage, qui comporte pas moins de 42 auteurs, François CATHALA traite dans un chapitre intitulé « des gendarmes sur les traces des OVNIS », du cas de Forbach (Moselle) le 8 octobre 1954. Dans cet ouvrage, 7 pages sur 654 traitent du phénomène OVNI, c'est déjà pas mal.
Beaucoup plus fouillé (pour le thème qui nous intéresse) est le second ouvrage, où là c'est un chapitre de plus de 30 pages intitulé « Les soviétiques, les américains...qui d'autres ? (1940 - 1990) » qui est offert à notre curiosité par Alexandre SHELDONDUPLAIX, chercheur au SHD, le service historique de la défense, et qui s'est servi des archives déclassifiées américaines anglaises et suédoises pour écrire, entre autre, ce chapitre.
Dans ces trentes pages on trouvera des témoignages solides, documentés, authentifiés tels que des « surveillances » de tirs de V2 à White Sands , d' opérations navales, telles « Mainbrace » en 1952 et bien d'autres.
Si on en doutait encore, il apparaît à la lecture de ces ouvrages que le phénomène OVNI a été dès les années 1940 pris au sérieux par les services de renseignements occidentaux. Pour les vétérans de l'ufologie sérieuse, ces éléments ne sont pas réellement nouveaux. La nouveauté c'est de les trouver dans des ouvrages historiques ! Espérons que ces initiatives « feront des petits »

Merci a tous pour ce bon moment d échange et de convivialité .
Le site de notre ami peintre: http://jesuisunartisteoriginal.blogspot.com