26 December 2015
Une civilisation unique ancienne, contrôlait le champ magnétique de la Terre… ?




Autrefois sur la planète Terre toute entière, une « civilisation première » semble être responsable de similitudes et de parallèles dans le domaine des langues, de la culture, de la religion, de l’archéologie et de l’ethnologie qui se manifestent auprès de civilisations bien éloignées, comme celle des polynésiens, de l’Égypte d’avant les dynasties, des premiers Ariens de l’Inde, des Mayas et des Incas.

Les « murs incas » sur l’île de Pâques ressemblent à l’époque précolombienne du Pérou et l’archaïque statue Tikuturi à celle de l’époque pré inca et ensuite les signes Rongo-Rongo que l’on retrouve sur des milliers de sceaux dans la vallée de l’Indus.

Charles Berlitz dit, à ce sujet, dans son livre : « Le huitième continent Berceau de toutes les cultures » : Les constructions en pierre de très hauts autels disséminées dans le monde entier font conclure à une civilisation commune, de laquelle ne sont restées conservées que les grandes pierres de ce type, remarquable de construction résistant au temps.

La civilisation mégalithique de Malte — l’une des plus anciennes civilisations de la zone méditerranéenne — est évaluée à plus de 8.000 ans.

Les cités et les tombes entourées de murs circulaires sur les îles Canaries qui ressemblent tellement aux ruines de Malte que l’on pourrait croire qu’elles ont été érigées par les mêmes architectes, semblent être même encore plus anciennes. D’autres anciennes constructions sur Malte ressemblent par contre aux murs de pierre du Pérou et aux murs et plates formes sur lesquelles s’élèvent les bustes en pierre de l’île de Pâques. »

Chez les Mayas et dans le premier type de construction de Mykonos se trouve la même sorte de console. Les tours de pierre rondes sur la côte irlandaise ressemblent aux nurages de Sardaigne et aux chulpas rondes du Pérou avant l’époque des Incas (Sillustani).

De grands cercles de pierre en Angleterre comme Stonehenge et la construction de Glastonbury qui fait près de 50 km, trouvent leur pendant dans des lieux de découverte préhistoriques dans les plaines côtières de l’Europe occidentale et dans les différentes parties de l’Amérique indienne.

Charles Berlitz : « Les murs de pierres complets ajoutés les uns aux autres découverts dans le Zimbabwe africain ont une similitude remarquable avec les murs de Cuelap dans la jungle du Pérou oriental (jusqu’à la réalisation de la ceinture en pierre du bord supérieur du mur) et avec les forteresses de pierre des îles Aran devant la côte occidentale de l’Irlande.

Ces organisations de pierre fortifiées si semblables entre elles dans leur construction — malgré l’éloignement de milliers de kilomètres — sont bien évidemment très vieilles, mais leur âge précis est difficile à évaluer, puisque des monuments de pierre qui ont plus de 50.000 ans ne peuvent être datés. »

Le docteur Manson Valentine, paléontologue, géologue et archéologue sous-marin à Miami a réalisé d’abondantes expéditions sous-marines surtout dans le triangle des Bermudes et sur les hauts-fonds des Bahamas. Il dit :

« Toute la région des hauts-fonds des Bahamas se trouvait, pendant la dernière époque glacière, audessus du niveau de la mer et a été par la suite submergée par la montée de la mer. J’ai voulu vérifier la thèse géologique qui stipule que, si les grands seuils sous-marins des Bahamas étaient encore une terre sèche dans un passé pas trop éloigné, ce qui semble assez sûr, doivent alors se trouver, dans les eaux profondes de cette région, des indices d’une ancienne colonisation par les hommes

À la question : « Quel peuple, à votre avis, a construit ces rues ou ces murs ? » Il répond : « C’est le peuple qui a aussi érigé les énormes constructions en Amérique centrale, les têtes de pierre de Tehuantepec, les gigantesques plates-formes de Baalbek au Liban et à Malte en Méditerranée, Stonehenge en Angleterre, les murs de aussi les menhirs représentent le premier exemple connu de l’art. On trouve ces menhirs partout sur la Terre : en Bretagne, en Terre de Feu, en Afrique, en Inde, au Cachemire, en Chine et en Mongolie.

La religion solaire de la pierre droite était une religion monothéiste.
Des pyramides sur l’île de Pâques Les pyramides ont aussi une signification solaire. Leurs arêtes et les pentes de leurs couloirs à l’intérieur représentaient les rayons du soleil et leur façon de tomber sur la Terre à travers les bouts de nuages.

L’existence des pyramides sur l’île de Pâques est aussi décrite dans un vieux livre espagnol du capitaine Don P. Gonzales de Haedo : « … qui proviennent de l’ancien continent pacifique et sont recouvertes aujourd’hui, par l’intermédiaire du déluge, par des sédiments. »

« Les statues de l’île de Pâques sont des menhirs consacrés au dieu Crom et les autels faits de pierre volcanique ont pour nom Tepl. Il s’ensuit que, en Polynésie, les dieux Crom et Ra sont entièrement identiques.» (Marcel Homet)

Cette affirmation vaut pour les statues « archaïques ».

Les statues de la période « classique » sont des réservoirs collecteurs pour la Mana, cette force cosmique qui peut être comparée à l’énergie abondante produite par les rayons du soleil. Elles ne cessent d’être en relation étroite avec le culte solaire des Anciens.

À cette époque-là, la planète Vénus, qui s’était détachée de Jupiter, passa près de la Terre et des pierres effritées par elle tombèrent dans l’Océan Pacifique dans les environs de l’île de Pâques. Il s’agissait de pierres rouges fortement chargées en magnétisme.

Les initiés de Mu connaissaient l’existence des champs magnétiques et ils surent les utiliser. Ils possédaient la force d’utiliser les propriétés magnétiques de la matière pour créer un champ d’induction et ce champ, ils l’appelèrent Mana.

En utilisant les propriétés magnétiques de cet aimant naturel, les initiés créèrent des champs d’une telle intensité qu’il était possible de transporter des masses en pierre de plusieurs tonnes. Gerton de Wageningen écrit dans son ouvrage sur les minéraux :

« … les minéraux, là où on les rencontre, confèrent à quelques types de structure des propriétés magnétiques marquées et cela se trouve dans la lave ainsi que dans d’autres roches. Cependant ces cristaux, qui représentent de tout petits aimants, sont justement présents dans la lave quand la masse n’est pas encore entièrement solidifiée.

Et il est significatif qu’ils ont ensuite tendance à s’aligner d’après le champ magnétique existant au moment de leur formation. »Nécessité d’un étonnant savoir Un savoir étonnant était nécessaire pour utiliser les propriétés de ces véritables petits aimants inclus dans la lave refroidie des Moais. Un vieil insulaire a dit à Francis Mezière :« Les Moais contrôlent la force des vents antarctiques et transmettent leur force unie à une puissante pierre volcanique rouge qui limite le triangle du monde insulaire du Pacifique. »

Le savoir concernant toutes ces choses physiques est mort avec la défaite des longues oreilles par les oreilles courtes qui, — d’après eux — ne disposaient plus de Mana. Ils affirmèrent que les statues ne se laissaient plus bouger de leur place, qu’elles ne vivaient plus. On mit un tabou sur la carrière et ce fut la fin des activités des sculpteurs.

Les érudits de la terre-mère Mu, initiés aux secrets du cosmos, avaient des connaissances qui s’étendaient jusqu’à l’astronomie. Les initiés observèrent la circonvolution de Vénus et ont pu calculer à l’avance ce qui arriverait.

Jean Prachan écrit dans son livre : « Le secret de l’île de séparés et, en partie, l’harmonie architectonique entre l’île de Pâques et l’Amérique du Sud.

Sous la pression des indigènes, les descendants des initiés de Mu ont atteint, des milliers d’années plus tard, la vallée de l’Indus où ils fondèrent les villes Harappa et Mohenjo-Daro car la civilisation là-bas se manifesta soudainement et se développa pleinement au 4ème siècle.

Les coutumes de Mu semblent avoir laissé leurs empreintes aussi en Chine. Eux aussi portaient de longues oreilles comme signe de sagesse et de longévité. Dans la musique aussi, il y a des parallèles. La musique de l’île de Pâques ne ressemble pas à la musique polynésienne d’autrefois. On peut seulement la comparer à la musique archaïque chinoise.

Sous le symbole du dieu unique Comme les descendants de Mu devaient maintenir en vie la tradition, elle fut écrite. Des mémoires ont été conçus dans une forme symbolique et incompréhensible aux laïques, mémoires qui comprenaient toutes les connaissances des initiés de Mu, connaissances spirituelles et scientifiques qui avaient permis à ce peuple des milliers d’années avant nous de créer une civilisation mondiale, placée sous le signe du soleil comme symbole du dieu unique. L’exposé renferme aussi la tragédie du continent disparu.

Sir John Marshall écrivit en 1927 après son expédition dans la vallée de l’Indus dans son livre « Mohenjo-Daro » qu’il s’agissait d’une civilisation hautement développée et tout particulièrement centralisée, qui ressemblait beaucoup aux civilisations contemporaines de Mésopotamie et d’Égypte, bien qu’elle leur était supérieure à certains égards.

Les découvertes de Harappa et Mohenjo-Daro montrent une civilisation extrêmement raffinée. Dans les deux villes se développa une société de paysans et de commerçants qui contrôlait une région de 1.500 km de long sur environ 800 km de large.

Cela signifie que la civilisation de l’Indus s’est étendue jusqu’au Cachemire, ce qu’attestent les récentes fouilles à Bursahama près de Srinagar. Sept menhirs, des monolithes travaillés pesant des tonnes, constitués de deux sortes de pierre, le granit et le diorite vert, ont été mis au jour et sont les témoins d’une civilisation autrefois hautement développée sur le Jhelam, l’affluant de l’Indus. Beaucoup de choses demeurent ici encore enfouies et attendent qu’on les découvre.

Les habitants de Mohenjo-Daro et de Harappa ont construit des bains chauds bien dessinés et des maisons à l’architecture compliquée et habile qui étaient étonnamment supérieures aux constructions des Égyptiens et des Asiatiques occidentaux de la même époque.

On sait aussi qu’ils ont domestiqué de nombreuses espèces animales et qu’ils priaient des dieux qui habitaient sur des étoiles. Cette civilisation du 4ème siècle avant J.C. qui apparut si pleinement instruite et développée, connaissait des choses modernes comme la canalisation, les poids et mesures et avait une écriture. Cette civilisation a de nouveau disparu d’une manière énigmatique. Y a t’-il eu des inondations catastrophiques qui ont détruit les villes de la vallée de l’Indus ? Des transformations climatiques ont-elles suscité un assèchement de cette région irriguée et fertile ?

Jusqu’à présent on sait seulement que Harappa a été attaquée par l’Ouest vers 1.800 à 1.500 avant J.C. et que Mohenjo-Daro a été abandonnée sciemment à la même époque. On a fait dans les deux lieux une découverte inhabituelle : à hauteur du niveau des rues d’autrefois on a mis au jour des squelettes dont l’orientation et la posture donnaient l’impression que ces hommes ont essayé de se protéger d’un danger. Les recherchent ont montré que ces squelettes étaient radioactifs. Explosion atomique à Mohenjo-Daro ?

Lorsqu’on visite Mohenjo-Daro, on est frappé par le fait que, vers le centre de la station, se trouvent des briques qui présentent une surface émaillée et des bords fondus. Ces briques présentent partiellement de profondes crevasses et ont une couleur très noire. Il est indéniable qu’elles ont été soumises à une action de chaleur extraordinairement forte. Charles Berlitz dit à ce sujet : « La théorie selon laquelle la Terre aurait été frappée dans le passé par une guerre atomique suffisamment dévastatrice pour transformer le climat, faire fondre les glaciers, influer sur la rotation de l’axe de la planète et, — comme c’est dit dans les légendes — faire changer de place terre et mer, relève de la science-fiction. Une guerre atomique dans le passé lointain est naturellement une des nombreuses raisons possibles de la disparition des civilisations anciennes de la Terre.

Les écrits classiques de l’Inde parlent de la bombe atomique, d’armes pour faire une guerre chimique, de fusées et de vols spatiaux.

Ces écrits sont restés incompréhensibles pendant des siècles, jusqu’à ce que l’humanité ait atteint un degré de développement atomique connu des ancêtres depuis déjà des milliers d’années avant. Une guerre atomique préhistorique ?

Lors de fouilles archéologiques en 1947 en Irak on a fait une étrange découvertes : après avoir travaillé sur quelques couches de civilisations et les avoir traversées et après avoir mis au jour d’indéniables artéfacts babyloniens et sumériens, on est tombé sur une couche argileuse de 4 m d’épaisseur avec des sédiments, couche qui a fait conclure à une forte inondation.

Sous la couche de flux on a découvert une couche fondue émaillée qui présentait une grande similitude avec les sols désertiques d’Alamogordo au Nouveau Mexique, cicatrisés et brûlés par le premier essai atomique.

Les habitants de la vallée de l’Indus ont laissé derrière eux un écrit que personne jusqu’à présent n’a encore pu déchiffrer.

On a trouvé à Mohenjo-Daro et à Harappa plus de 2.000 briques taillées, gravées et séchées à la chaleur. Elles comportent des scènes mythologiques et religieuses ou des animaux comme des buffles, des taureaux, des chèvres, des tigres, etc. Chaque sceau porte une inscription, mais on ne peut pas approfondir la signification des signes — comme pour les écrits de l’île de Pâques !

L’alphabet de l’île de Pâques est plus ancien que celui de Mohenjo-Daro et d’Harappa puisque c’est celui-là qui a inspiré celui-ci. Ce ne sont pas à vrai dire des signes primitifs, mais des signes très compliqués qui reviennent souvent.

Charles Berlitz écrit :« Sur les tables Rongo-Rongo on voit des formes humaines qui sont gravées et tiennent des tubes en forme de U de quatre longueurs différentes. Quelques-unes de ces formes tiennent un tube à l’intérieur duquel on voit quelque chose qui ressemble à un plongeur.

Dans la vallée de l’Indus, on trouve exactement les mêmes formes avec des petits tubes en forme de U et il se trouve aussi une forme qui agite un de ces tubes avec un plongeur à l’intérieur. »

Cette concordance ne saurait être un hasard. Mais les statues de l’île de Pâques que l’on croyait uniques, on les a découvertes aussi en Australie à 8.000 km de Rapanui. On a aussi établi des comparaisons entre les textes du Rig Veda et l’écrit de Mohenjo-Daro et il est apparu que les symboles découverts dans la vallée de l’Indus correspondent à ceux des textes des civilisations néohindoues.

Et c’est ainsi aussi que se sont retrouvés les symboles Rongo-Rongo de l’île de Pâques dans les textes sacrés des peuplades de cette religion. Les chanteurs Rongo- Rongo ont construit des ponts par delà le temps et l’espace. Était-ce pour cela que les habitants de Rapanui avaient donné à leur île le nom Te pito o te henua — Nombril du monde ?

La même écriture le long de l’Indus et dans la mer du Sud…

Il n’y a pas qu’à Harappa et à Mohenjo-Daro qu’on a trouvé des idéogrammes semblables à ceux de l’île de Pâques, mais à une date récente aussi dans les environs de Rockford dans l’État d’Illinois ainsi qu’à Mexico chez les plus anciennes traditions des Aztèques, les inscriptions du Codex Borbonicus.

Il semble par conséquent qu’il y ait eu un système de communication mondial indépendant du temps et de l’espace, dont nous trouvons les traces partout dans le monde.

Ces traces peuvent toutefois prendre des formes complètement inattendues. Ainsi y a t’-il en radiologie, un pendule constitué d’un cylindre en bois avec une inscription sur la surface qui concorde absolument avec un idéogramme de l’île de Pâques qui a été souvent reproduit sur les tables.

On utilise ce pendule pour détecter des rayons non polarisés dont l’effet peut être influencé par la volonté de celui qui s’en sert. Pourquoi ce dessin sur un tel instrument ? Il semble qu’il y ait ici une relation avec les révélations qu’à faites le médium italien Béatrice Valvonesi à Dom Netoman.

Serge Hutin rapporte à ce sujet dans son livre : « Les civilisations inconnues » :

« Il y a 7.000 ans vivait dans la vallée de l’Indus un peuple hautement cultivé qui avait profondément pénétré les secrets du cosmos. Il savait que notre globe se meut dans un champ de rayons cosmiques qui correspond aux champs magnétiques ou électriques que nous connaissons aujourd’hui… Il savait en outre et avant tout qu’on peut polariser le globe par un dispositif, alors naissent deux pôles, qui ressemblent à ceux qu’un champ magnétique provoque dans une sphère métallique.

Des ondes cosmiques entrent par le pôle plus, traversent le globe et ressortent au pôle moins qui se trouve exactement au côté opposé. Ainsi les dons du ciel sont-ils apportés à la Terre et abandonnés à leur sortie du globe. Il savait enfin aussi que deux pôles opposés sont chargés de la même force opposée que, par exemple, le degré de fécondité du pôle plus correspond constamment au degré d’infertilité du pôle moins.

Comme ils souhaitaient pour leur pays un maximum d’ondes favorables, ce qui s’exprimait par la fertilité du sol, la santé de la race, l’épanouissement de la vie, ils décidèrent d’installer un “collecteur” d’ondes contraires sur le pôle opposé. » Et Serge Hutin commente ainsi ces révélations :

« Le collecteur d’ondes contraires n’était rien d’autre que les statues géantes. Ils s’inscrivirent volontairement — par pur altruisme— consciemment à la maladie, à la faim, à la soif et enfin à la mort. Pour chaque être humain végétant au pôle de la mort il y avait un être humain prospérant au pôle de la vie. » (La vallée de l’Indus).

Les descendants des sages de Mu retournèrent à leur première patrie et accostèrent sur les îles Marquise, sur Pitcaim et en dernier sur l’île de Pâques — reliquat du continent Mu d’autrefois. Ces vestiges sur les Marquises et sur Pitcaim (Temples solaires et pétroglyphes d’hommes, d’animaux, d’oiseaux ainsi que des figures géométriques comme des cercles et des étoiles) attestent de ce peuplement et créèrent ensuite la « période classique » sur l’île de Pâques en souvenirs des sages de Mu.

Nous savons que la Terre est un aimant gigantesque, chargé de forces électromagnétiques. Le Britannique John Micheli écrit dans « The View over Atlantis » :

« … Le magnétisme naturel de la Terre était connu des hommes préhistoriques et leur fournissait une énergie sur laquelle était synchronisée toute leur civilisation. »

Il pense qu’il est possible que toutes les constructions cyclopéennes tout autour du globe appartiendraient à une même culture mondiale et que leurs constructeurs ne les auraient pas seulement érigées pour caractériser les lignes de champs magnétiques, mais aussi pour les utiliser à des fins de contrôle du champ magnétique de la Terre.

Les Chinois nommaient ces lignes« Voies du Dragon » (lung – mei). D’après une vieille tradition chinoise, ces lignes et centres de force ne couvrent pas seulement la Terre entière, mais sont aussi présentes dans le corps humain comme si la Terre vivante et le corps vivant de l’homme fonctionnaient en dépendant des mêmes forces. (Acupuncture comme représentation de lignes d’énergie précises dans le corps humain.)

La théorie selon laquelle les forces magnétiques de la Terre étaient connues et contrôlées depuis longtemps déjà pourrait être une explication pour les emplacements variés et inhabituels de constructions préhistoriques dans des régions de la Terre très éloignées les unes des autres. Elle inclurait tout : les constructions mégalithiques, les monticules de terre, les rues droites en Perse et en Amérique du Sud, les lignes de Nazca, du Chili et de Californie et les Voies du Dragon en Chine.

Également le système de transport énigmatique de la préhistoire, bouger les formidables blocs de pierre sur de lointaines surfaces et de profondes vallées pourrait trouver une explication par l’intermédiaire d’un branchement de l’énergie magnétique de la Terre. Car, d’après la tradition des Longues Oreilles, les statues regagnaient leur place d’elles-mêmes.

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13 Fevrier 2016
Lumières de Phoenix : Il filme depuis son Cockpit


Phoenix — Des images militaires classifiées du phénomène Ovni des Lumières de Phoenix ont été récemment divulguées par un ancien aviateur de l’US Air Force. Le film aurait capturé depuis le cockpit des images encore jamais vues des avions de combat Lockheed-Martin F-16 et l’Airchild A-10 Thunderbolt II en en action la nuit de l’incident d’origine il y a 17 ans le 13 Mars, 1997. Le bureau des affaires publiques du 56e Escadron de chasse à Luke a reçu de nombreuses demandes de renseignements, mais est resté muet à propos de la séquence. Le rapport affirme que des images supplémentaires de plusieurs victimes civiles ont été obtenues.

L’incident des Lumières de Phoenix est l’une des plus grandes observations d’OVNI en Amérique du Nord. Des milliers d’habitants de l’Arizona se sont alarmés quand ils ont remarqué un objet de taille considérable dans le ciel au-dessus de Phoenix il y a 19 ans. De nombreux témoins ont signalé avoir vu un engin en forme de losange en vol stationnaire au-dessus de la ville pendant au moins deux heures. Dix-neuf ans plus tard, on se pose toujours des questions à propos des lumières de Phoenix. Les habitants de l’Arizona se souviennent encore de ce phénomène et les nouvelles images suscitent encore plus de tensions autour de cet événement vieux de 19 ans. Les lumières ont fait l’objet d’une étude minutieuse, de dénégations du gouvernement et de documentaires sur Internet.

Cette vidéo encore jamais vue d’un engagement dans les lumières de Phoenix a été mise en ligne ce week-end, par le journaliste de KWBTV David Collins. La vidéo FLIR [de portée nocturne] montre un présumé appareil militaire et inconnu la nuit de l’observation de masse sur Phoenix en 1997. Merci à Ken Pfeifer MUFON NJ Site.



Source : George Filer National Ufo Center



18 avril 2016
Mars… La face cachée de la Nasa.


La Lune et Mars, proches banlieues spatiales de la Terre, portent-elles les traces d’une civilisation disparue ? Deux chercheurs nord-américains ouvrent un nouveau volet passionnant à cette histoire et leurs travaux soulèvent bien des interrogations repoussées d’un revers de main par la Nasa.



Mike Bara et Richard Hoagland ne sont pas des fantaisistes. Le premier est ingénieur en aéronautique, ancien de chez Boeing, et le second n’est rien moins qu’un ancien consultant de la Nasa, qui fut aussi, à son heure, l’un des conseillers scientifiques de la grande chaîne de télévision CBS. Si leur théorie sur la présence d’installations sur Mars et la Lune a été maintes fois tournée en dérision, elle n’en pose pas moins une question essentielle : la Nasa détient-elle des informations capitales sur notre histoire humaine et stellaire ?

L’affaire Cydonia…

Tout commence avec la célèbre affaire Cydonia dont on doit rappeler quelques-unes des étapes. Fin 1976, lors d’une conférence de presse, la Nasa présente devant un millier de journalistes les clichés pris par Viking, la première sonde orbitale martienne lancée par l’homme.

Parmi tous les clichés qui font la fierté des chercheurs, l’un d’eux montre sur un site d’environ 48 km x 24 km, soit 1152 km2, une série de structure étranges dont une attire particulièrement l’attention de quelques journalistes qui y voient.., un visage.

Le porte-parole de la Nasa avance qu’il ne s’agit « évidemment pas d’un visage », mais « d’un effet de lumière » et annonce qu’un autre cliché, pris quelques heures plus tard avec d’autres conditions delumière, ne présente plus la trace de ce visage. Malheureusement, la Nasa ne montre pas ce second cliché.

L’affaire est donc entendue, mais trois ans plus tard, en 1979, Vince Di Pietro et Greg Molina,deux spécialistes en image traitées par ordinateur auprès de l'American Space Science Data Center découvrent la seconde série de clichés du site de Cydonia et se rendent compte que la Nasa a menti :le visage se distingue très nettement.

On aurait pu en rester là si, des années plus tard, le 27 février 1992, Hoagland ne décidait de présenter au siège des Nations unies à New York le résultat de ses recherches à propos du site de Cydonia dans le cadre d’une conférence intitulée « Mars, la connexion terrestre ».

Il affirme alors qu’avec son équipe, il a découvert qu’un des clichés (Viking frame 35A72) de la surface martienne pris par la sonde Viking en 1976 au dessus du lieu-dit de « Cydonia » montre clairement plusieurs éléments intéressants.

Non seulement on y voit nettement un visage, mais également une série de pyramides à base carrée et tétraédrique regroupées en un ensemble qu’ils nomment « la cité », une autre structure pentagonale (le Mont D & M), ainsi qu’un gigantesque mur et un grand cratère dont le bord nord-est est surmonté par une sorte de pyramide tétraédrique.

L’hypothèse défendue par Hoagland est qu’une forme de vie intelligente a conçu et élaboré les structures du site de Cydonia. Cette quasi-certitude est relayée par les recherches du directeur européen des informations pour la Mission Mars, David Percy, et d’autres qui ont, pour leur part, réussi à mettre en évidence un rapport étroit entre Cydonia et les sites mégalithiques d’Avebury, de Salisbury, de Glastonbury et de Stonehenge en Angleterre.

Le lien entre Mars et la Terre est d’autant plus évident pour Hoagland et ses collaborateurs, que la « colline » de Silbury, le cercle de pierres et le fossé d’Avebury correspondent au cratère, au « mur »et à la butte en spirale de Cydonia.

En effet, en superposant les cartes des deux sites, on constate qu’elles coïncident parfaitement, avec une proportion de 1 pour 14 (1,6 km sur Terre, pour 22,5 km sur Mars), comme si le site mégalithique était la réplique parfaite du site martien de Cydonia.

David Percy concluait qu’une « communication physique et/ou mentale entre la Terre et Mars a dû exister car comment expliquer que des hommes, il y a des milliers d’années ont remué des millions de mètres cube de terre pour édifier des sites aussi grandioses qui correspondent parfaitement à un site situé sur la planète Mars ? »

Plus étonnant encore. Un crop circle apparaît le 27 juillet 1991 à proximité de Silbury, faisant une synthèse du plan général des deux sites. Le glyphe donne le rapport de masse entre Mars et la Terre, ainsi que l’angle de 19’5 (19°47) qui revient sans cesse dans le rapport angulaire entre diverses structures des deux sites.

David Percy et d’autres établissent aussi d’étonnantes correspondances entre le site de Cydonia et le site des pyramides de Gizeh en Égypte, notamment le respect des proportions et des alignements par rapport à certaines étoiles et constellations. L’équipe de Hoagland conclut que le visage de Mars n’est sans doute pas un visage humain, mais un visage hybride, moitié humain pour la partie droite, moitié lion pour la partie gauche, c’est-à-dire un sphinx. Michael Malin, l’ennemi juré du site de Cydonia…

L’affaire fait des remous. Richard Hoagland, épaulé par une série de scientifiques indépendants et chercheurs amateurs fait face à une faction formée de personnalités faisant partie de la Nasa et de firmes qui gèrent les missions vers Mars, comme le Jet Propulsion Lab (JPL).

Au nombre de ses détracteurs, Hoagland peut compter sur Michael Malin, astronome et géologue, ancien membre du JPL spécialisé dans les nouvelles sciences planétaires. Pour Malin, l’affaire est claire : les structures de Cydonia sont des accidents de terrain. Selon Bara « les images martiennes que Malin a prise en grippe sont celles que la Nasa lui a ordonné de prendre du soi-disant visage de Mars... ».

Quant à Michael Malin, la simple vue du site de Cydonia le pousse à conclure ironiquement : « Il a fallu dépenser plus de 400 000 dollars pour obtenir de nouvelles images du visage de Mars (...) Est-ce que le gouvernement veut vraiment gaspiller de l’argent à la poursuite de fantômes, du monstre du Loch Ness ou du continent perdu de l’Atlantide ?

Je pense que le visage de Mars est une des dépenses les plus stupides qui soient ». Voilà pour la position officielle de Malin. Officieusement pourtant, des scientifiques de JPL travaillant sur les clichés de Mars Global Surveyor expliquent à Vince Di Pietro, le spécialiste en traitement d’images, et à Withley Strieber, l’auteur du livre Communion, victime et spécialiste des enlèvements extraterrestres, que Malin sans en avertir le public a « fait prendre tant de clichés du visage de Mars, ces deux dernières années (de 1998 à 2000) » que ses collaborateurs « n’avaient plus le temps de se consacrer à leurs propres recherches ».

En réalité, suite à l’affaire Cydonia et à la guerre médiatique qui en découle, Hoagland et Bara font un constat simple : la Nasa et les institutions avec lesquelles elle travaille se sont livrées tout au long des missions martiennes et lunaires à des manipulations et à de la rétention d’informations afin d’empêcher le grand public d’avoir connaissance de découvertes incroyables susceptibles de « donner une nouvelle perspective à la connaissance que l’homme possède de ses origines et de son environnement ».

Mars Observer, une mission pour rien… ?

Hoagland s’aperçoit clairement de l’opposition de Malin en 1992, au moment précis où est lancée la catastrophique mission Mars Observer, présentée comme la nouvelle génération de sondes orbitales, avec des équipements sondeurs bien plus sophistiqués que la génération Viking. « Très étrangement et dès le départ, nous précise Bara, Mars Observer n’a pas été conçu pour être équipé d’une caméra. Malin ne voulait pas entendre parler de caméras. En fin de compte, il a été décidé d’inclure une caméra avec échelle de gris d’une résolution d’un mètre par pixel. Et c’est là que les problèmes ont commencé ».

Alors que Hoagland défend sa théorie sur l’existence, pour lui évidente, de traces de civilisation sur Mars, l’homme chargé de concevoir et de contrôler la caméra de Mars Observer se trouve justement être... Michael Malin qui, très curieusement, a par ailleurs expertisé les photos d’ovnis du « contacté » Billy Meier. Paradoxalement, Malin a conclu à l’authenticité des clichés sans toutefois être persuadé que « les objets contenus dans les photos étaient des vaisseaux extraterrestres ».

En 1992 donc, pressé de questions par la communauté des scientifiques passionnés par les questions soulevées par le site de Cydonia, Malin met directement les choses au point en affirmant qu’il n’est « absolument pas intéressé par le fait de tester l’hypothèse Cydonia en braquant sa nouvelle caméra vers le site ».

En fait, il fait connaître à de multiples reprises son opposition ferme et irrévocable à tout effort qui serait consenti pour re-photographier Cydonia. Face à ces déclarations, Hoagland et un autre expert, le professeur Stanley Mc Daniel (Ndlr: auteur d’un rapport accablant sur la rétention des clichés des missions martiennes par Malin) découvrent qu’en réalité, Malin a volontairement sous-estimé les possibilités de la mission Mars Observer de viser et de photographier le site de Cydonia. a Nasa cède le pas… Dès lors, Hoagland et d’autres chercheurs indépendants entament une vraie campagne de lobbying auprès du Congrès et de la Nasa afin que la mission Mars Observer s’intéresse de près au site de Cydonia. La Nasa prend alors une série de décisions aussi inattendues que totalement inédites.

Elle vend l'ensemble des droits de toutes les futures données récoltées par Mars Observer à Michael Malin qui devient l’unique gestionnaire et propriétaire des données et clichés collectés par une mission pourtant financée par le gouvernement et donc par le grand public !

la Société qu’il a récemment créée, la Malin Space Science Systems, se trouve, via le développement des instruments d’observation spatiale, au centre d’un impensable monopole de l’imagerie des corps célestes. C’est toujours le cas aujourd’hui (voir http://www.msss.com/newhome.html).

Non sans une certaine colère, Mike Bara affirme: « Cet arrangement avec un contractant privé présentait l’insigne avantage d’absoudre la Nasa de toute responsabilité sur ce qui allait être photographié avec un outil financé par le contribuable américain, mais cette opération donnait également à Malin le droit de lancer un embargo sur les données collectées pendant au moins six mois si nécessaire...

Malin avait ainsi le droit de retenir tout ou partie des données récoltées et grâce à une clause contractuelle, il avait également le droit d’effacer tout objet ou “artefact” de n’importe quelle image ». De cette manière, la Nasa et Malin ne sont pas obligés de rendre publics les clichés pris par la sonde.

Des caméras frappées de myopie…

La date de lancement de Mars Observer, prévue pour septembre 1992, approche à grands pas. Fin août 1992, l’incroyable se mêle à l’improbable. Au cours d’un inspection de routine du vaisseau spatial sur son pas de tir, des techniciens de la Nasa découvrent « un sérieux problème de contamination, en l’occurrence des débris de métal, de composants électroniques, etc. ».

La Nasa conclut qu’un accident a pu survenir « lors du déménagement du vaisseau de la zone protégée et aseptisée de construction vers le pas de tir ». À quelques semaines à peine de la mise à feu, le lanceur et sa cargaison sont soumis à une inspection et « un nettoyage offensif ».

Lors de cette inspection, le chef de projet David Evans constate la présence « d’une substance étrangère » sur la caméra de Malin et qui « aurait rendu les images floues et inutilisables ».

Selon Evans, au vu des procédures, cette mystérieuse contamination n’a pu se produire que dans « la chambre aseptisée de JPL ». Mike Bara est interloqué : « Comment une erreur aussi basique a pu se produire dans le cadre d’une mission de près d’un milliard de dollars, cela demeure un mystère difficile à résoudre.

La vérification de la propreté du système d’optique de la camera est invariablement la priorité numéro 1 pour une mission dont la caméra à lumière visible est l’un des instruments scientifiques embarqués les plus importants.

Heureusement, les ingénieurs honnêtes de la Nasa purent nettoyer le vaisseau et la caméra à temps pour son lancement le 25 septembre ». Quelqu’un a donc saboté intentionnellement la caméra. Quant à savoir le pourquoi et l’identité du coupable, on ne peut que spéculer.

Entre-temps, Beven French, un allié de Malin, membre de la direction de la Nasa et de son programme scientifique, vient à son secours en spécifiant que non seulement, Malin a contractuellement le droit d’ignorer Cydonia, mais qu’en outre, le visage et les autres objets sont trop petits pour être visés par la caméra de Malin.

Étonnant constat pour un site d’environ 2,5 km de long sur 1,5 km de large, alors que la taille des cibles visées par des missions martiennes moins sophistiquées peuvent descendre jusqu’à une quinzaine de mètres. Quant à la Nasa, elle se retranche derrière l’avis de Malin, avançant qu’elle n’a « aucun pouvoir pour l’influencer ». On ne peut qu’être très surpris par cette délégation pleine et entière d’une institution comme la Nasa !

Vient alors le moment du départ de la mission envoyée grâce à un lanceur Titan. Une première anomalie survient: « Le lien avec Mars Observer et le second étage du lanceur a été coupé pendant près de 90 minutes », interrompant la transmission des données télémétriques et radio.

Lescontrôleurs au sol imaginent le pire, mais une heure plus tard, Mars Observer réapparaît sur les écrans de contrôle sans que l’on puisse fournir la moindre explication.

Que s’est-il passé… ?

Après enquête, les ingénieurs du Deep Space Network concluent que quelqu’un ou quelque chose a coupé le contact avec Mars Observer, effacé les données de vol et réinjecté « un flux de données nominales reprogrammées ».

Tout se passe bien jusqu’au 21 août 1993. Alors que Mars Observer entre dans sa phase d’approche de Mars, le journaliste d’Associated Press est averti par le Jet Propulsion Lab que la sonde a tout simplement disparu. Avec elle, s’évanouit une belle opportunité de ramener des données et de photographier Cydonia.

Quant à Hoagland et son équipe de la mission Enterprise, certaines informations les conduisent à douter que Mars Observer ait vraiment disparu.

La sonde a très vraisemblablement pris des clichés qui ne seront jamais diffusés. Mais, dans la mesure où ces hypothétiques images appartiennent de fait à la société de Malin, la voie est sans issue.

Un savoir caché… ?

On est alors en droit de se poser la question que Hoagland lui-même se pose. Tant d’acharnement déployé contre sa théorie d’une existence de ruines civilisées sur Mars ne cache-t-il pas une vérité ?

La Nasa et les autres institutions spatiales dissimulent volontairement peut-être des éléments forts bien connus de leurs hautes instances, des éléments attestant d’une civilisation ancienne sur notre voisine. Un point semblerait indiquer que oui, du moins qu’il existe au coeur même de la Nasa des individus ne négligeant pas cette possibilité.

On le sait maintenant depuis fort longtemps, à la fin de la seconde Guerre mondiale, Américains et Soviétiques ont copieusement pioché, et sans aucun sens moral, dans le contingent des scientifiques travaillant pour l’Allemagne nazie pour gonfler leurs propres équipes travaillant autant dans le domaine aérospatial que dans celui du nucléaire.

Le plus célèbre de ces savants est Wernher von Braun connu pour ses travaux sur les missiles de la catégorie V qui firent tant de dégâts dans le nord de l’Europe. Arrivé aux États- Unis grâce à la bienveillance de Washington, il intègre la future Nasa avant d’en devenir l’un des principaux acteurs, notamment lorsqu’il est l’âme de la fusée Saturne V.

Pourtant,jusqu’au début des années cinquante, von Braun est inconnu du grand public américain. Son étroite amitié avec Walt Disney va changer la donne. Ensemble, ils décident de produire une série de films pour la télévision dépeignant la manière dont lui, von Braun, imagine les missions habitées d’exploration spatiale. Ce sont précisément ces films qui établissent la notoriété publique de von Braun et bâtissent sa légende dans l’imaginaire américain.

Intitulé Man in Space et diffusé sur ABC le 9 mars 1955, l’un de ces films montre un vol de reconnaissance effectué sur la face cachée de la Lune. Au moment où ils survolent le sol lunaire, les astronautes envoient des fusées éclairantes pour distinguer le paysage.

Soudain, un membre de l’équipage annonce « qu’une forte radiation se lit à 33’ », et le radar détecte une étrange formation. Le film montre alors, bien éclairées au centre d’un cratère, les ruines d’une ancienne civilisation. (http://www.enterprisemission.com/corbett.htm).

Certes, il ne s’agit que d’une fiction mais, au-delà de l’aspect anecdotique, ce que von Braun insère volontairement dans ce film est sans doute significatif de l’état d’esprit de membres de la Nasa. En 1955, certains pensent déjà savoir ce qu’ils peuvent trouver sur la Lune.

Comme l’affirme Bara « von Braun et Disney avaient l’intention évidente de dépeindre la Lune comme ayant été habitée antérieurement».

En posant des questions essentielles à propos de Cydonia, Hoagland a certainement mis un coup de pied dans la fourmilière d’un secret soigneusement entretenu par quelques membres bien placés de la conquête spatiale. On retrouve ces messages induits, troublants, dans une campagne d’affichage plus récente que l’affaire du film de Walt Disney et de von Braun.

En 1989, George Bush père veut relancer la conquête spatiale sous l’appellation de « Space Exploration Initiative », un programme qui prévoit l’implantation de bases lunaires et de missions exploratoires vers Mars.

Pour l’occasion, Boeing et la Nasa éditent une affiche commémorative montrant des astronautes sur la planète Mars avec, en arrière-plan, un splendide couché de soleil, mais surtout des ruines d’une ancienne civilisation qui semble être à la fois liée à Sumer et à l’ancienne Égypte. Pourquoi avoir dépeint Mars sous un tel aspect alors qu’en 1989, même si l’affaire Hoagland n’a pas encore vraiment éclaté, la Nasa a officiellement montré un mépris certain pour le site de Cydonia et pour ceux qui croient y voir des ruines d’une ancienne civilisation ?

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Pourquoi avoir dépeint Mars sous un tel aspect alors qu’en 1989, même si l’affaire Hoagland n’a pas encore vraiment éclaté, la Nasa a officiellement montré un mépris certain pour le site de Cydonia et pour ceux qui croient y voir des ruines d’une ancienne civilisation ?

Selon Mike Bara, il s’agit d’un exemple parfait du double langage de l’administration spatiale. D’une part, il existe selon lui un langage codé, réservé aux seuls initiés et à l’élite qui laisse penser que la Nasa possède une vision peut-être ésotérique de l’espace, dans le sens d’un savoir caché au commun des mortels.

D’autre part, se diffuse partout un discours officiel qui n’est que dédain pour les fanatiques de l’hypothèse extraterrestre ou pour ceux qui croient que la Terre a un jour abrité une civilisation dotée d’une très haute technologie.

Missions lunaires, Égypte ancienne et Atlantide…

Suite à ses recherches à propos de Mars et des courants ésotériques qui traversent la Nasa, Hoagland est hanté par la question suivante : jusqu’où la Nasa a-t-elle été marquée par l’ésotérisme ?

Il reconstitue un puzzle qui le conduit à penser que derrière le nom des missions lunaires successives (Mercury, Gemini et Apollo) se dissimulent, codées, des divinités égyptiennes qui obsèdent les dirigeants de la Nasa.

Plutôt que de faire référence au dieu Mercure, le projet Mercury est la représentation de l’élément chimique « mercure » et du symbole égyptien stylisé « Ankh » (la vie éternelle, lié à Isis).

Gemini fait certes référence au fait qu’on envoyait une mission de deux hommes dans l’espace, mais aussi aux mythiques jumeaux Castor et Pollux, une constellation qui borde la constellation d’Orion.

D’autres mythes relient Castor et Pollux aux étoiles du matin et du soir qui sont des symboles de première importance dans la représentation stellaire des anciens Égyptiens.

Reste surtout à décrypter ce qui se cache derrière la symbolique de la mission Apollo. Selon Hoagland, Apollon dissimule son concurrent Orion, et donc les dieux égyptiens correspondants que sont Osiris et Horus.

Un examen attentif du badge et du logo de la mission Apollo permet d’arriver à cette conclusion : autour de la lettre A majuscule sont stylisées une série d’étoiles qui correspondent à la constellation d’Orion, « le puissant chasseur » dont la déesse Artémis (Diane) tomba amoureuse.

Le logo de la mission évoque donc l’opposition entre Apollon et Orion.

La civilisation antique égyptienne et surtout ses conceptions métaphysiques sont totalement tournées vers le cosmos et ses constellations, Orion correspond chez les Égyptiens à Osiris, dieu de la résurrection qui fut assassiné par son demi-frère Seth et ressuscité par sa compagne et demi-sœur Isis qui correspond à l’étoile Sirius.

Horus, le fils d’Osiris, étroitement lié à l’humanité, reçut la mission de venger son père et donc de vaincre Seth dans le but de libérer l’humanité pour la faire entrer dans un nouvel âge d’or.

L’Égypte ancienne est, selon Mike Bara, la référence de la Nasa parce que cette civilisation comprend profondément les concepts de précession, de cycles lunaires et finalement toute la grande mécanique céleste par le biais de ses conceptions religieuses.

« Que fait une divinité mythologique stellaire égyptienne camouflée dans un logo représentant une mission gouvernementale officielle d’exploration lunaire ? » se demande Mike Bara.

Hoagland répond en prolongeant encore l’interrogation. Si Apollo renvoit à une référence égyptienne « pourquoi n’a-ton pas baptisé ouvertement le programme d'exploration lunaire sous l’appellation d'Orion ou même d'Osiris.

Pourquoi se servir d’un dieu grec qui dissimule en réalité une divinité égyptienne ?... »

C’est en prenant conscience du nom d’une autre mission, la navette spatiale Atlantis, que Hoagland comprend la logique résidant derrière l’ensemble de ce montage : «Et si cela n’était pas la première fois que l’homme avait traversé l’espace pour atteindre la Lune ? Et si l’ère d'Osiris/Isis/Horus n’était pas un mythe, mais une réalité historique ?»

Les anciens textes égyptiens rattachés à la pyramide (Ve dynastie de l’Ancien Empire) établissaient une connexion fondamentale entre la constellation d’Orion et ses environs (le Duat) et une catastrophe aux proportions gigantesques qui annihila « une civilisation antérieure à la civilisation égyptienne et qui fut connue bien plus tard grâce à Platon (se fondant lui-même sur des sources égyptiennes) sous l’appellation de l’Atlantide ».

Hoagland, nous dit Bara, s’interroge alors sur les raisons qui ont poussé la Nasa à dissimuler ce qu’il a compris comme « un symbole égyptien dans le badge de la mission Apollo ». Sans y être contraints en aucune manière, les dirigeants de la Nasa auraient senti une obligation morale à rendre hommage à cette culture ancienne, savante en matière de cosmologie.

Des théories confirmées par d’autres sources ?

Pour en savoir plus, nous avons contacté Clarck McClelland ingénieur aérospatial et assistant technique du directeur du programme Apollo. Il connaît personnellement nombre d’astronautes et a rencontré certains des dirigeants.

Nous lui avons présenté brièvement la thèse de Richard Hoagland d’un courant de type ésotérique dans les instances de la Nasa. Très réticent à répondre, il a fini par admettre que les hypothèses de Hoagland étaient en grande partie fondées et qu’effectivement, ce courant existait. Mais McClelland n’a pas jugé bon d’en dire plus.

Ensuite, nous avons questionné Anton Parks, auteur français d’une série de livres portant sur la nature extraterrestre des « anciens dieux », voyageurs spatiaux impénitents des mythes sumériens et égyptiens, et sur leur rôle dans la genèse de l’humanité.

Face à la thèse de Hoagland, Anton Parks n’est pas totalement surpris ni dérouté : «Si la thèse d’Hoagland est fondée et qu’effectivement, des membres de la Nasa sont initiés à un certain savoir,je peux comprendre leurs réactions même si l’on ne peut pas admettre qu’ils poursuivent une politique visant à dissimuler l’information au grand public.

En se rendant dans l’espace, dans le domaine des “Dieux”, ils veulent montrer par certains signes, par le respect de certaines dates, qu'ils rendent hommage à une certaine réalité. C’est peut-être leur manière maladroite et codée d’attirer les faveurs de ceux qui revendiquent la propriété de l’espace intersidéral ».

Anomalies lunaires: tours, dômes et château…

L’affaire du site martien de Cydonia fait naître en l’esprit de Hoagland un raisonnement logique très simple : « L’endroit le plus évident qui permettrait de découvrir des signes de “visites” et d’explorations antérieures est le satellite de la Terre, c’est-à-dire la Lune ». Disposant d’une source d’informations presque infinie — les clichés des nombreuses missions lunaires habitées et non habitées — Hoagland se concentre sur notre satellite espérant y découvrir des points comparables à Cydonia. La question est d’actualité pour beaucoup.

En 1992, déjà, certains auteurs et chercheurs amateurs ont tenté de donner corps à des rumeurs portant sur l’existence de bases extraterrestres sur la Lune comme le livre « maladroit » (selon Mike Bara) de Fred Steckling, We Found Alien Bases on the Moon.

En 1994, Hoagland présente pour la première fois ses découvertes devant sept cents étudiants et membres de l’université de l'Ohio : l’un des clichés montre un objet massif, une sorte de tour qui culmine à plus de 2 km au-dessus de la surface lunaire et qu’Hoagland a baptisé « the Shard » (le Tesson). Cette tour semble être composée « d’une géométrie interne complexe, répétée et cristalline » et des agrandissements révèlent « des structures géométriques répétées et composées de compartiments cubiques ou peut-être hexagonaux qui semblent être très endommagés...

L’impression générale est qu’il s’agit d’un objet artificiel complexe de très grande taille qui devait sans doute être plus grand. L’objet dont une partie s’est sans doute effondrée est maintenant très érodé et endommagé par une très longue période de pluies de météorites ». À gauche du « Tesson », Hoagland met en évidence une autre structure cristalline artificielle de grande taille (7 miles) qu’il baptise le « Cube».

Les structures restent bien différentes de celles de Cydonia car elles sont pour la plupart cristallines et donc transparentes. Ce sont soit les reflets du soleil, soit les dégâts et l’usure provoqués par les impacts de météorites qui permettent de distinguer ces structures de très grande taille.

En analysant des clichés de la mission Surveyor 6, l’équipe de Hoagland découvre d’étranges dômes transparents se découpant dans la lumière ainsi qu’une autre structure de grande taille et à l’exotique géométrie baptisée « The Castle »(le Château). Malheureusement, certains de ces clichés de la Nasa sont très endommagés et Hoagland n’a jamais pu mettre la main sur les négatifs originaux.

L’existence de structures cristallines artificielles pourraient de plus être corroborée par les témoignages de certains astronautes comme Edgar Mitchell (Apollo 14), voire Buzz Aldrin, mais il semble, fait remarquer Mike Bara, que très curieusement, les astronautes gardent des souvenirs troubles et confus de leurs missions sur la Lune, ce qui nous amène à un autre problème qui est celui du Mind Control et des debriefing très contrôlés dont les astronautes ont pu faire

l’objet. L’affaire Catbox : Hoagland ridiculisé…

En 1998, la Nasa et Malin acceptent de jouer le jeu et de rendre public quasi en temps réel les images de la nouvelle mission de Mars Global Surveyor. Les deux premières images du visage de Cydonia envoyées par Malin et le JPL ridiculisent la thèse de Hoagland : on ne distingue plus vraiment le visage mais plutôt un relief rocheux de forme bizarre, « une simple pile de rochers », affirme l’un, « la litière de mon chat, affirme l’autre, lorsqu’il a gratté les graviers après avoir fait ses besoins », d’où le nom du cliché : « the Catbox Image ».

L’équipe de Hoagland poursuit l’enquête et peu après, comme pour la devancer, Tim Parker, un géologue du JPL, publie une autre version du visage, de bien meilleure qualité car on y distingue certaines des caractéristiques du visage comme les narines. Mais le mal est déjà fait.

Après avoir étudié les clichés, Hoagland découvre que les clichés ont été pris avec un angle oblique, écrasant toute perspective. En outre, la résolution de l’image a été réduite de 50 % et les niveaux de gris dégradés à plus de 85 % par l’emploi de filtres. En fait, souligne Bara « le cliché “Catbox” a été manipulé... il s’agit d’une escroquerie scientifique perverse et destructrice ».

Cette affaire permet surtout d’attirer exclusivement l’attention du public sur le visage. Plus personne ne parle des autres structures de Cydonia. Hoagland est rejoint par des astronomes amateurs pour passer au crible la masse impressionnante de clichés pris par la mission Mars Global Surveyor.

Des anomalies apparaissent, dont les tubes ou « tunnels de verre de Barsoom », à proximité du pôle Sud de Mars. Il s’agit également de structures cristallines ou faites d’un matériau réfléchissant. Enfin, en 2002, la collection d’anomalies martiennes s’enrichit de nombreux clichés infrarouges qui font apparaître, enterrés sous d’importantes couches de sable, des structures géométriques complexes et comparables aux clichés infrarouges des ruines des cités terrestres ensevelies.

Les anomalies découvertes sur Mars et sur la Lune ne sont finalement que des indices d’une réalité bien différente de celle qui nous est officiellement présentée.

Pour Hoagland, une politique spatiale ambitieuse permettrait petit à petit de révéler au grand public la vérité sur la place de l’homme dans l’espace. Bush n’avait pas réussi faire démarrer sa politique spatiale à cause de l’opposition du Congrès. Aujourd’hui, l’élection de Barack Obama aux commandes de la Maison Blanche ne laisse rien présager de bon pour l’exploration spatiale.

L’ambiance est aux coupes budgétaires sombres et à l’austérité. Obama a d’ores et déjà annoncé que les priorités iraient ailleurs et que la Nasa serait soumise à un régime d’amaigrissement draconien.

Liens Internet -Le site de Richard Hoagland et d’Enterprise Mission pour certains des clichés :
http://www.enterprisemission.com

-Sites consacrés aux anomalies martiennes et lunaires (avec de très bons clichés) :
http://www.marsanomalyresearch.com
http://www.ufos-aliens.co.uk/cosmicmarsanoms.htm

-Le site officiel de JPL sur La mission Mars Global Surveyor :
http://mpfwww.jpl.nasa.gov/mgs

-Les archives de la mission martienne Viking (Malin Space Science Systems) :
http://www.msss.com/http/vikingdb.html

-Le site officiel de la Nasa consacré à Mars :
http://www.nasa.gov/mission_pages/mars/main/index.html

Source : Nexus n°61


20 Juin 2016
Le « Chevalier Noir » a été à nouveau enregistré par la Russie, à coté de la station spatiale ISS


Intéressant de noter que cette vidéo a été enregistrée et diffusée par des Russes.

Poutine a-t-il donné pour ordre de commencer la Divulgation Totale ?

Le Chevalier Noir (Black Knight), est un engin spatial qui a été filmé depuis les années 1954 et dont personne ne connaît la provenance ni l’utilité : source https://fr.wikipedia.org/wiki/Chevalier_noir_(satellite)>




26 Juin 2016
Des bâtiments extraterrestres ont été trouvés sur Vénus sur les images de la NASA !


La NASA a envoyé une sonde sur Vénus en 1989 afin de réaliser une carte détaillée de sa surface.

Durant ces dernières années et un chasseur d’extra-terrestres du nom de mundodesconocido a eu la surprise de tomber sur des bâtiments aliens en fouinant dans ces fameuses images…



Venus tout comme Mars et la Lune sont bourrés d’édifices.


26 Novembre 2016
Nonbreux Ovni extraterrestre filmé a Grenoble France





01 Decembre 2016
Saviez-vous qu’il y a des pyramides cachées sous la glace en Antarctique ?


En cherchant sur Google Earth, vous pouvez tomber sur les anciennes pyramides de l’Antarctique.



Lattitude : 79°58’50.84″S
Longitude : 81°57’19.82″O

En utilisant la règle de Google Earth on constate que la plus grande pyramide mesure 500 mètres de chaque coté.



http://www.nouvelordremondial.cc/2016/12/03/saviez-vous-quil-y-a-des-pyramides-cachees-sous-la-glace-en-antarctique-video/

Il est temps de faire tomber le voile.


03 Decembre 2016
Quand le plus haut placé de la Nasa parle d'invasion extraterrestre



L’Administrateur de la NASA Suspendu après avoir déclaré qu’une Invasion Extraterrestre est Imminente

L’officiel le plus haut placé de la National Aeronautics and Space Administration (NASA), Charles Bolden, a obtenu 6 mois d’arrêt maladie, après avoir publiquement allégué qu’une invasion extraterrestre prendrait place avant 2025.

M. Charles Bolden – un vétéran qui est allé quatre fois dans l’espace à bord des navettes spatiales Columbia, Discovery et Atlantis et qui a passé près de 600 heures dans l’espace – est l’administrateur de la NASA depuis 2009.

Il a choqué plusieurs personnes à l’occasion d’une conférence de presse à Houston samedi dernier, en déclarant que « ce n’est plus qu’une question de mois, peut-être d’années, avant que des extraterrestres plus avancés que nous n’envahissent notre planète. »

« Plusieurs choses sont effrayantes dans cet univers, et certaines d’entre elles ont probablement remarqué que nous existions dans ce plan là, » a déclaré M. Bolden. « Nous avons formulé une estimation qu’il y a à peu près 30,000 autres civilisations dans l’univers. Nous avons redoublé d’efforts dans le domaine de l’espace intersidérale durant des décennies, donc nous avons très probablement attiré l’attention d’au moins une d’entre elle. Une invasion pourrait donc avoir lieu à n’importe quel moment. »

La déclaration renversante a clairement provoqué un malaise généralisé dans la foule et M. Bolden a rapidement été pris en charge par deux employés de la NASA qui l’ont fait descendre de la scène..