02 Janvier 2017
Une main d’extraterrestre retrouvée par un particulier


Les vidéos de cette découverte incroyable se trouvent au bas de l’article :



Cette main momifiée à trois doigts a été retrouvée dans le désert du Pérou par un citoyen lambda qui n’est pas ufologue (très important).

La main est incroyablement longue et il y a même une bague métallique…



L’individu explique dans la vidéo qu’il a découvert deux objets très étranges dans une caverne dissimulée dans le désert par une toute petite porte. Et quand ils ont ouvert la porte, ils sont descendus et ont découvert un sarcophage, puis un autre sarcophage…



Après avoir ouvert les sarcophages, ils ont remarqué que les momies étaient recouvertes d’une fine couche de terre sèche toute blanche. Particularité frappante, les créatures retrouvées n’ont pas de glandes mammaires et ne sont donc pas des mammifères. Il ne faut donc pas les comparer à nous autres.



Il est dit que les Nephilim parcouraient la Terre pré-diluviale. Avant le Grand Déluge, des géants dominaient ce monde. Nous avions toujours cherché jusqu’à présent des preuves des géants alors qu’elles étaient en face de nous. Nous sommes les géants et nous avons survécu au déluge, et les créatures qui ont écrit la Bible mesurent pas plus de 60 centimètres de haut.

Ces créatures minuscules comme celles de l’Atacama et bien d’autres, sont en fait les humains primordiaux et en fait nous sommes les Nephilim.

C’est une toute autre façon d’interpréter la parole biblique et de comprendre ce mystère.

L’individu qui préfère rester anonyme et qui ose révéler cette affaire sur internet a passer la main aux rayons X et a découvert qu’elle a subit de multiples fractures.





Reste à savoir si ils ont envoyé des échantillons à différents laboratoires pour vérifier si c’est bien un reste d’être vivant et si c’est humain.




05 fevrier 2017
Analyses des reliques étranges du Pérou : appel aux dons


Comme l'avait dit Thierry Jamin lors de ses dernières interviews, lui et l'ONG Inkari lanceraient un appel aux dons si ils ne trouvaient pas de solution ou de personne pour effectuer gratuitement des analyses ADN et C14 des reliques trouvées dans le désert péruvien. En effet, il est hors de question de toucher aux sommes déjà récoltées pour l'expédition archéologique sur la recherche de Païtiti, et les sommes demandées par les laboratoires officiels (7000 € par exemple au Musée de l'Homme de Paris) sont trop importantes pour pouvoir effectuer les trois analyses dans trois labos différents comme l'exige la procédure officielle... Nous y voici donc, un appel aux dons a été lancé ce matin.

Vous trouverez ci-dessous le message complet lisible aussi sur la plate-forme sécurisée Ulule, connue mondialement pour ce type de campagne d'appel aux dons, afin de vous faire gagner du temps, ainsi bien sûr le lien direct vers cette plate-forme afin que vous puissiez, en toute liberté bien sûr et à votre convenance, uniquement si vous le désirez, contribuer de votre mieux à l'établissement de la vérité sur cette étonnante affaire (cet établissement de la vérité étant à priori l'intérêt de tous, sceptiques ou convaincus...) :

https://fr.ulule.com/alien-project/

VIDEO : https://vimeo.com/200621198

Bonus : une présentation de Thierry Jamin sur Facebook en vidéo:
https://www.facebook.com/AlienProjectPeru/videos/1636732743298023/


"Chers Amis Internautes,

Vous avez été très nombreux, depuis le début de cette incroyable histoire, à me conseiller de lancer une opération de « financement participatif » permettant de déterminer, grâce à des analyses scientifiques poussées (principalement ADN et C14), l’origine des corps et des organes momifiés découverts dans le sud du Pérou en janvier 2016.



Nous sommes conscients que des milliers de personnes, à travers le monde, veulent savoir, tout comme nous, s’il s’agit d’une fraude ou d’authentiques reliques biologiques appartenant à des espèces terrestres inconnues ou extérieures à notre planète.

Alors, mon équipe et moi avons décidé, en toute humilité, de vous écouter et de lancer cette opération de crowfunding, baptisée « Alien Project », nous permettant d’obtenir les réponses que nous espérons tous.

Grâce à vous, et si vous nous en donnez les moyens, nous allons tirer au clair toute cette affaire. Nous ferons la lumière sur cette histoire et nous vous promettons de tout vous dire.

Qui sommes-nous ?

Mais avant tout, laissez-moi vous rappeler que l’objet principal de l’Institut Inkari – Cusco, que j’ai l’honneur de présider depuis 2009, n’est pas la recherche ufologique, mais bien l’investigation archéologique, dans le cadre et le respect des procédures et des règlements régissant l’archéologie moderne (voir le site : www.instituto-inkari.org).

Depuis près de vingt ans, mon équipe et moi nous consacrons à l’étude de la présence permanente des Incas en forêt amazonienne et à la localisation de leur principal centre de peuplement : la cité perdue de Païtiti. Ces recherches, ont toujours été encadrées par des projets approuvés par les autorités péruviennes, principalement les Ministères de la Culture et de l’Environnement (voir le site : www.granpaititi.com).

Depuis des années, l’Institut Inkari – Cusco jouit d’une bonne réputation, notamment grâce aux découvertes réalisées par mon équipe à Machu Picchu en 2012 (voir le site : www.machupichu-ciudadela.com). Raison pour laquelle nous sommes régulièrement contactés par des citoyens péruviens ayant découverts près de chez eux telles ou telles ruines. Ou d’autres encore nous sollicitent pour obtenir une expertise, par exemple concernant des objets découverts dans leurs champs. C’est dans ce cadre que nous avons été contactés, à la fin du mois d’octobre 2016, par deux habitants de Cusco au sujet de mystérieuses momies découvertes quelques mois auparavant dans le désert du sud du Pérou. La suite, vous la connaissez..

Diffuser l’information

Convaincus de l’authenticité de cette histoire, que devions-nous faire ? La garder pour nous, ou la faire connaître au grand public ? Depuis des décennies, des millions de personnes, à travers le monde, recherchent « la » preuve. Ce groupe de « huaqueros » péruviens a peut-être découvert cette preuve.

Désormais, totalement impliqués dans cette histoire (qui comporte, il est vrai, encore de nombreuses zones d’ombre), les membres de l’Institut Inkari – Cusco vont mener l’enquête pour vous, et avec vous.



Nous allons appliquer pour cette affaire les méthodes de l’archéologie moderne. Celles qui nous ont permis de mettre au jour une quarantaine de sites archéologiques nouveaux dans le département de Cusco entre 2009 et 2013. Celles aussi qui nous ont permis de confirmer l’existence d’importantes chambres funéraires dans le sous-sol du « Temple des Trois Portes », à Machu Picchu. Enfin, ce sont ces mêmes méthodes qui nous ont permis de localiser, en 2012, le lieu probable où se cache la reine des cités perdues sud-américaines : la mirobolante cité de Païtiti. La découverte officielle de ce site légendaire est, selon nous, imminente (voir aussi : Thierry Jamin, « L’Aventurier de la cité perdue », éditions du Trésor, Paris, mars 2014).

C’est donc avec notre méthodologie que nous vous proposons de nous suivre dans ces recherches concernant le cas de ces corps et organes momifiés. Et vous pouvez nous faire confiance, s’il s’agit d’une imposture nous serons les premiers à la dénoncer.

Canular ou événement « historique » ?

Je comprends parfaitement que l’on puisse avoir des doutes dans une affaire aussi extraordinaire. Je pense que mes camarades et moi aurions eu les mêmes doutes légitimes en regardant les photos et les vidéos diffusées sur Internet.

Ces artefacts biologiques ont cependant été examinés à Cusco par une quinzaine d’archéologues, de biologistes, de médecins et d’anatomistes. Et aucun d’entre eux n’a émis l’hypothèse d’une fraude. Alors, s’il s’agit d’un canular, il est bien monté ! Si ces objets sont l’œuvre d’un faussaire, il faut lui rendre hommage pour la qualité exceptionnelle de son travail.

S’il y a une fraude, nous ne l’avons pas encore détectée. Et la seule manière de mettre tout le monde d’accord, les partisans comme les sceptiques, n’est-elle pas d’effectuer des analyses scientifiques poussées de ces objets, en particulier ADN et C14, dans plusieurs laboratoires internationaux ? Alors, donnons la parole aux chercheurs !

À l’Institut Inkari, nous ne cherchons pas à prouver quoique ce soit. Les déclarations à l’emporte-pièce, formulées par certains Internautes dénonçant une supercherie, ne relèvent certainement pas de ce principe intangible. Comme l’écrit Albert Eistein, « Celui qui n’a jamais fait d’erreur, n’a jamais innové »… Comme des milliers de citoyens à travers le monde, nous voulons §§§§%



Pourquoi des analyses ADN et C14 ?

Les analyses auxquelles nous vous proposons de participer permettront de déterminer :

S’il s’agit bien de matériels biologiques, ou non.
S’il s’agit d’espèces animales connues, inconnues, ou non identifiées. A moins qu’il ne s’agisse de toute autre chose…

S’il s’agit bien d’une imposture, 100 % des composants de ces corps et organes momifiés devraient, selon toute logique, être identifiés par les analyses.

Mais si ces mêmes reliques appartiennent à un groupe animal inconnu ou à une espèce extérieure à notre planète, les analyses devraient tout aussi logiquement mettre en évidence des « éléments inconnus » pouvant aller de plus de 0% à 100 %
.



L’union fait la force !

Nous lançons donc, dès à présent, un appel à tous les Internautes, aux partisans de l’authenticité de ces étranges « reliques », comme aux sceptiques, ou tout simplement aux curieux, bref, à tous ceux qui, comme nous, veulent connaître la vérité sur cette histoire, de se joindre à cette opération pour permettre dès que possible, le lancement de ces analyses.

Nous nous engageons à vous communiquer l’intégralité des rapports d’analyses en toute transparence et à vous tenir informés régulièrement de leurs avancées.

Chers Amis Internautes, nous comptons tous sur vous pour réussir cette opération dont l’unique objectif est la recherche de la vérité. Le philosophe Aristote disait « l'ignorant affirme, le sage doute et le savant réfléchit ».

Vous pouvez aussi compter sur nous. Nous ferons toute la lumière, quelle qu’elle soit, sur cette incroyable affaire.

Au nom de toute l’équipe de l’Institut Inkari – Cusco et en mon nom personnel, je tiens à vous remercier par avance du fond du cœur pour votre soutien sans lequel la vérité sur cette histoire ne sera sans doute jamais faite.

À Très Bientôt !
Bien Amicalement À Vous, depuis le Cœur des Andes,
Thierry JAMIN

A quoi va servir le financement ?

À travers ce financement participatif, l’Institut Inkari – Cusco se propose de réaliser dans différents laboratoires de renommée internationale les analyses complètes concernant les matériels suivants :

  • Analyses complète dans trois laboratoires indépendants de matières issues de la petite tête momifiée.
  • Analyses dans trois laboratoires indépendants des fibres de coton découverts dans la petite tête momifiée, puis étude comparative avec des cotons des cultures nasca et paracas.
  • Analyses dans un laboratoire péruvien du produit poudreux dans lequel ont été découverts les restes momifiés, puis étude comparative avec des minéraux présents dans la région côtière de Nasca-Paracas.
  • Enfin, analyses dans un laboratoire péruvien de l’un des implants métalliques découverts dans une des mains à trois doigts.

D’autres analyses seront par ailleurs lancées en même temps par notre contact « Paul » dans d’autres laboratoires, concernant d’autres pièces biologiques. À travers cette opération de crowfunding, l’Institut Inkari – Cusco se propose de prendre en charge une partie seulement des analyses du matériel en possession de ce dernier.

La somme collectée sera versé sur le compte de l'Instituto Inkari Cusco, ONG déclarée au Pérou.

A propos du porteur de projet

Thierry Jamin se consacre depuis près de 20 ans à la recherche archéologique au Pérou, plus particulièrement sur les traces des Incas en Amazonie péruvienne. Voir les sites internet consacrés aux recherches archéologiques de Thierry Jamin : www.granpaititi.com et www.machupicchu-ciudadela.com. Il a fondé avec son équipe une ONG qu'il préside : l'Instituto Inkari Cusco, www.instituto-inkari.org.

Sur Facebook : www.facebook.com/thierry.jamin www.facebook.com/paititi2016 www.facebook.com/AlienProjectPeru

Ses publications principales :

Thierry Jamin, "Je te raconte : à la recherche de Païtiti, la cité perdue des Incas", in "GÉO Ado, le magazine de notre planète", N° 143, janvier 2015.
Thierry Jamin, "L’Aventurier de la cité perdue", éditions du Trésor, Paris, 2014.
Thierry Jamin, “Jeu de piste chez les Incas”, in “Historia”, N˚ 126, juillet – août 2010.
Thierry Jamin, “Pusharo, la memoria recobrada de los Incas”, Edisa, Lima, noviembre del 2007.
Thierry Jamin, Pierre-Albert Ruquier, “L’Eldorado inca. À la recherche de Païtiti”, éditions Hugo & Compagnie, Paris, 2006.
Thierry Jamin, “Sur les traces de Païtiti, la cité perdue des Incas”, in “La Géographie”, N˚ 1522, septembre 2006.
Thierry Jamin, “Les aventuriers de la cité perdue”, in “National Geographic France”, Vol. 13.2, N˚ 71, août 2005.


12 fevrier 2017
Nouvelle relique montrée (la 7ème !)



Nouvelle relique montrée (la 7ème !) - un corps complet (momie ou non) comportant certaines différences avec le précédent montré

Bon, après un bon résumé de ce que nous savions à la mi janvier 2017, après les réponses de début décembre 2016 puis certaines interviews de Thierry Jamin sur diverses plate-formes du web, il y a eu plusieurs nouvelles informations. Dont une longue conversation de 3 heures sur skype avec l'historien-géographe explorateur, devenu archéologue par expérience (mais qui est toujours accompagné par un archéologue diplômé officiel lors des expéditions, comme l'exige les règlements péruviens). Thierry Jamin m'ayant demandé de ne pas révéler les diverses informations données lors de cette longue conversation, je respecterai bien sûr ma promesse, mais voici les nouveaux éléments fournis sur la page facebook de Thierry, ainsi que quelques éléments qu'il m'a autorisé à révéler ici...

Tout d'abord, l'explorateur, accompagné de quelques membres de son équipe, a pu enfin avoir un contact direct avec les huaqueros, sans l'intermédiaire (Paùl), dans un hotel de La Paz, la capitale administrative de la Bolivie donc, en "terrain neutre". Inutile de dire qu'ils sont maintenant formellement identifiés. Afin de protéger les reliques déjà prélevées sur le site et le site même, un accord a dû être passé, des paroles données sur la confidentialité des identités accordées. Les huaqueros ont promi de leur côté de "lâcher" complètement le site, dès qu'ils auront estimé avoir tiré suffisamment d'avantages financiers avec... c'est une nouvelle assez moyenne, avec la dispersion probable de certains artefacts dans des collections privées, mais les pilleurs ont compris la valeur des objets trouvés et les prix ont grimpé (il est question de 200000 $ à 500000 $ pour une plaque métallique spéciale, etc...), mais ils ne trouvent plus d'acheteurs locaux maintenant, vu les tarifs... (à priori). Pour répondre aux questions légitimes de certaines personnes, il a été aussi confirmé que les autorités péruviennes sont parfaitement au courant de la situation. Elles ont adopté une attitude prudente et conservatrice afin de préserver au mieux les intérêts de l'Etat péruvien et des artefacts, du site trouvé. Il faut bien comprendre que beaucoup de découvertes en Amérique Latine ont été faites (Macchu-Picchu qui a été pillée au 19ème siècle et autres sites importants même au 20ème siècle en sont des exemples) par des non-scientifiques et des huaqueros, et les scientifiques sont toujours arrivés par la suite pour rendre les choses publiques... cette découverte ne sort donc pas du "cadre" habituel des nombreuses découvertes faites chaque année au Pérou ou dans les pays voisins... c'est malheureux pour certaines découvertes importantes, de certaines données qui sont "loupées" ou perdues par l'inconscience de ces "esclaves de l'argent", mais c'est bien la réalité du monde dans lequel nous vivons... Vous verrez aussi dans l'interview de Thierry Jamin que ces huaqueros (dont le chef a une certaine réputation à maintenir, car il a participé à plusieurs recherches officielles avec de célèbres archéologues bien reconnus !) ont déjà découvert, il y a 10 ans, des artefacts étranges, dont une main avec trois doigts, et un crâne comportant trois yeux, dont un au front... qui ont tous été vendus à l'époque... Il faut aussi savoir que la momie intacte de la petite fille, princesse inca, a été facilement vendue à un collectionneur italien... et que des japonais sont en ce moment même en train d'étudier l'authenticité d'une plaque à mémoire de forme (vendue un demi-million de dollar !) pour une entreprise nippone... Bon, il s'agit du témoignage de pilleurs de tombes, bien sûr, on peut relativiser et douter, mais on peut tout de même se poser la question, d'autant plus que Thierry Jamin, offusqué par les choses, n'hésites pas trop à en parler librement...

Le récit de la découverte du site est en partie différent de celui donné par l'intermédiaire (qui n'avait pas obtenu toutes les réalités de la part des huaqueros), surtout pour le début : Voilà la véritable découverte racontée par les pilleurs : " Ils fouillaient comme souvent le désert sableux, à l'aide de grandes barres métalliques plongées dans le sol, à la recherche de tombes ensevelies et intactes. L'endroit (un peu mieux cerné maintenant grâce aux recoupements) est situé un peu en hauteur, au niveau des plateaux montagneux, prémisses de la Cordière des Andes (et donc non pas dans le désert proche de l'océan). Subitement, une barre rencontre un obstacle souhaité, le lieu est fouillé et il se révèle rapidement être une salle intacte, une sorte de caveau ou de vestibule. En creusant plus, ils font une découverte étonnante : au font de la salle se trouve une porte scellée. Ils tentent d'ouvrir cette porte par plusieurs moyens, avec une réaction thermique usuelle (essence + eau) puis ils poussent fortement cette paroi de pierre et, au bout d'un moment, celle-ci s'enfonce un peu, puis revient vers eux, comme si elle pivotait après leur poussée, un mécanisme ayant été débloqué. Ils réussissent ainsi à l'ouvrir, tombent sur un escalier qui mène à une tombe. En fait ils découvrent la momie parfaitement conservée d'une petite fille inca (entre 10 à 12 ans). Tellement bien conservée dans ce désert très sec qu'ils ont l'impression de voir un enfant dormir (rien à voir avec la momie abîmée mais intacte de la jeune fille de 16 ans trouvée il y a quelques année en haut d'une montagne du Pérou, ni au petit garçon wari-inca en Argentine découvert dans la glace d'une autre montagne). Une enfant probablement issue de la noblesse inca, car elle est habillée de magnifiques vêtements et ils trouvent des bijoux dans ses cheveux et plusieurs objets (poteries probablement) en forme d'offrandes dans la tombe... qui est construite de pierres solides. A noter qu'ils y trouvent aussi la momie d'un homme portant des petites moustaches et quelques poils au menton. Pensant qu'ils sont sur la piste d'un potentiel trésor inca, ils continuent de déblayer les lieux et c'est ainsi qu'ils ont découvert le premier sarcophage. L'histoire rejoint ainsi celle déjà révélée dans le quatrième article, tout en ajoutant qu'ils annoncent aussi qu'il y a d'autres portes pas très loin de l'endroit où ils ont trouvé le second sarcophage (ou coffre de pierres), qu'ils n'ont pas ouvertes encore, car ils ont peur d'un piège, une grosse pierre ressortant au-dessus de cette sorte de vestibule où se trouve plusieurs portes... Les huaqueros seront tellement surpris de l'ampleur de leur découverte qu'ils n'en parleront pas du tout pendant plusieurs mois... pas avant janvier 2016 tout au moins.

D'après les pilleurs, le site ressemble fortement à une pyramide ensevelie ou cachée dans une montagne naturelle de forme pyramidale (une pyramide semi-artificielle (adobe ?) donc comme celles qui ont déjà été découvertes et datées de l'époque Nazca, comme à Cahuachi par exemple), ou un temple composé de multiples galeries. Ils ont probablement trouvé une entrée secrète, cachée depuis de nombreuses années par les incas ou autre ethnie locale selon la période (ou même les périodes), mais il doit exister d'autres entrées à cette structure. Ils ont bien trouvé deux "sarcophages" ou grands coffres de pierre, avec un nombre impressionnant d'objets, y compris certains trouvés sur le sol ou sur des sortes de "bancs" ou rebords de pierres entourant les salles :
un peu comme des salles de musée antiques ! Le nombre donné par les pilleurs est maintenant énorme, car ils parlent d'au moins 1000 objets, dont beaucoup de petite taille, avec plusieurs gravures en pierre ou en quartz bleu et des petites boules métalliques. La découverte semble assez proche de ce qui a été trouvé au Mexique, à Ojuelos de Jalisco notamment (attribués aux Aztèques probablement par erreur de contexte local : les archéologues, faute de mieux, attribuent souvent des objets difficiles à identifier à la culture qui a occupé un lieu en dernier... sans se préoccuper de civilisations précédentes, ou de commerce, ou de pillages...), avec des objets de nature assez proche.

Vous avez pu découvrir cette nouvelle relique en pierre ou en quartz ramenée par Thierry Jamin début février.

Ces reliques seront révélées petit à petit par l'équipe afin de répondre sereinement aux questions et aussi pouvoir les étudier et les analyser au mieux. Cette figurine est assez proche des figurines découvertes il y a quelques années au Mexique...

Absolument tous les objets déplacés du site par les pilleurs ont été photographiés et ces photographies ont été montrées à Thierry Jamin, ainsi que quelques pièces amenées comme preuves.

A force de négociations, plusieurs nouveaux objets, tant biologiques que des figurines gravées, ont pu être ramenés par l'explorateur et son équipe.

J'ai eu l'honneur de voir toutes ces nouvelles reliques le 2 février dernier donc, mais j'ai attendu la révélation de Thierry Jamin de la nouvelle relique biologique ramenée (un corps entier mesurant 38 centimètres environ, assez proche de la première, sans l'être entièrement toutefois !) et étudiée aussitôt par les médecins de Cuzco...

Il y aurait aussi une grande main à trois doigts comme celle déjà examinée, mais encore reliée à l'avant-bras, et donc avec son articulation complète...

Mais auparavant, de nouvelles photos de reliques, données par les pilleurs, étaient apparues sur la page Facebook de l'explorateur.

les voici :


Les poils dépassant de ces yeux obliques semblent bien êtres des cils (la possibilité de foetus semble s'éloigner)


Cette tête coupée, même si elle a aussi une toute petite bouche, un petit nez, de grans yeux et pas d'oreilles ni pilosité, semble aussi plus "ronde", moins allongée que les autres... Questionné, Thierry Jamin se demande s'il ne s'agit pas de restes d'expériences génétiques, d'un labo antique dont certains résultats d'expériences ont été préservés...

Voici maintenant les vidéos proposées par Thierry Jamin et ses sponsors http://www.prodiris.fr/ et http://www.jungledoc.com/ sur Facebook :

Une étonnante nouvelle momie donc (voir la définition d'une momie créée artificiellement par les anciennes cultures dans un dictionnaire !), comportant certaines similitudes avec les précédentes déjà montrées (tête, mains et orteils), mais aussi de grosses différences, principalement une cage thoracique énorme (13 paires de côtes) et des membres (bras et jambes) comportant 4 os (2 chez l'être humain, les primates et la majorité des animaux terrestres...), sans articulations visibles (peut-être enlevés lors de la momification ?) et aussi sur la main gauche, deux implants ou plaques tout à fait ronds, au dos et dans la paume de la main...



Début février 2017, Thierry Jamin déballe l'un des nouveaux artefacts récupérés et, équipé de gants, me les montre, entre autres cette étonnante
entité biologique de 38 centimètres momifiée... (voir l'extrait vidéo dans l'interview ci-dessous).



La main retournée avec un autre implant rond disposé au niveau de la paume... la jambe en premier plan laisse voir tout de même une sorte de pli ou petite jointure.

Et voici, en bonus (et merci à Thierry Jamin et son équipe) et pour les lecteurs, lectrices de ce site et les internautes de la chaînes Youtube, ainsi que de la page Facebook, une interview de Thierry Jamin en date du 10 février 2017, dans laquelle il répond à quelques questions et révèle de nouvelles choses... en attendant les publications et études des nouvelles reliques ramenées de la confrontation d'avec les huaqueros (qui feront l'objet de nouvelles vidéos et explications)... On parle bien d'un minimum de 1000 artefacts biologiques, de pierres et de métal maintenant, la probabilité d'un "fake" monté par quelques individus en quelques mois devient assez... loufoque, même pour le meilleur sceptique orné de grosses œillères depuis des années... mais, par respect (bien que ce ne soit pas souvent réciproque), laissons les analyses se dérouler normalement et la vérité, quelle qu'elle soit, apparaître au grand jour... Dans cette interview qui nous conte en détail la façon dont les huaqueros ont découvert le site (voir plus haut), on apprend aussi que les mêmes personnes (le chef étant une personne ayant une certaine réputation au Pérou, qui a travaillé avec de vrais archéologues très connus, qui a vendu de vrais vestiges précolombiens à des personnalités politiques connues du Pérou ou du Brésil...) ont fait la découverte il y a une dizaine d'année d'une huaqua inca (temple ou pyramide) près de la côte péruvienne, et qu'ils y ont trouvés déjà à l'époque une grande main équipée de trois doigts, mais aussi un crâne étrange pourvu de trois yeux (un au front), qu'ils ont revendu déjà à l'époque à un collectionneur privé (tout comme la momie de la petite princesse inca découverte fin 2015 a été revendue à un collectionneur italien...). Le haquero a annoncé aussi (mais difficile de savoir si c'est vrai ou juste pour tenter de faire monter les enchères) qu'il est en contact avec des japonais représentant une grande entreprise, qui est prête a acheter une plaque métallique à mémoire de forme (et qui émettrait une luminosité bleue la nuit) pour 500000 $... Il est à noter aussi que ce haquero, qui a une forte connaissance des choses déjà découvertes (secrètement ou non) dans ces régions, pense que ces objets découverts pourraient faire partie d'expériences pratiquées par les anciens peuples ou même plus probablement par des entités non-humaines... (croisements génétiques, hybridations, tests sur l'être humain, des animaux et eux-mêmes...). En tout cas, ces entités pourraient bien être à l'origine d'une grande partie de l'Histoire de l'Humanité, les perspectives, si cela est confirmé bien sûr, sont immenses, tant du point de vue historique, scientifique que religieux bien évidemment.

VIDEO : https://youtu.be/R9adZ8R70NU

Avec à nouveau mes excuses pour la qualité moyenne de cette vidéo tournée en direct de Cuzco, Pérou via Skype... Comme l'interview de début décembre 2016 sur le même sujet, cette vidéo sera sous-titrée (non seulement pour les mal-entendants) en français, puis en anglais et espagnol. - : https://youtu.be/R9adZ8R70NU

VIDEO : http://www.dailymotion.com/video/x5bh2ty_nouvelle-relique-etrange-du-perou_news

Et si vous voulez accompagner cette recherche de la vérité (vrai ou hoax), et bénéficier au passage des cadeaux-bonus proposés sur la plate-forme sécurisée de Ulule, n'hésitez pas à participer à la contribution participative proposée :

https://fr.ulule.com/alien-project/

25/02/2017 - Alien Project : têtes momifiées

Quelque part dans le désert du sud du Pérou, d’étranges corps et organes momifiés ont été découverts en janvier 2016…
Voici un des organes, une tête, mis au jour dans un des deux sarcophages découverts dans ce fameux site.



03/03/2017 - Analyse des radiographies des têtes momifiées

Cusco, le 23 février 2017. Le Docteur Edson Salazar Vivanco analyse les radiographies de deux têtes momifiées.



25/03/2017 - Les réponses de Thierry Jamin



Le site Alien Project est en ligne !

La première version du site Alien Project est en ligne : www.the-alien-project.com
Elle est pour le moment uniquement en français, mais les versions espagnole et anglaise vont arriver bientôt ! Vous pourrez en particulier retrouver dans la page Médiathèque, la plupart des vidéos que nous avons réalisées. Dans quelques temps, nous mettrons aussi les interviews que Thierry a pu donner à différents médias et que l'on trouve sur YouTube.

Vous trouverez aussi la page "Contributeurs" où sont cités tous les contributeurs du projet Ulule. Merci de vérifier si vous y apparaissait bien. Ce sont en effet les données transmises par Ulule et si vous vous n'avez pas correctement rempli les différents champs lors de votre inscription sur la plateforme de financement participatif, il peut y avoir des erreurs. Merci de nous le signaler en message privé svp.

Nous allons bien sûr enrichir ce site avec de nouvelles pages : Actualités, Liens, etc.

Dans quelques jours, avec @Mr_s qui s'est occupé de toute la partie Forum (merci @Mr_s), nous mettrons en ligne l'accés aux forums. Il faudra vous inscrire avec la même adresse de messagerie que celle utilisée sur Ulule.

Bon surf sur le site Alien Project !



04/04/2017 - Les 3 mains momifiées et l'analyse de leurs radiographies

L'Instituto Inkari Cuco a pu récupérer 3 mains impressionnantes, dont 2 présentent un implant métallique.

Ces mains ont été radiographiées. Deux radiologues livrent leur analyse : - Docteur Julio Espejo Torres,
- Doctor David Hermosa Gongora.

Globalement, pour eux, ce n'est pas humain. Et pour la première fois, la musique du thème principal est signée Michel Wiklacz, un de nos donateurs, musicien qui travaille entre autre pour Deï Mian.




15/04/2017 - Thierry répond à vos questions